Présentation du site

Ce blog a pour but de réunir les supporters du Football Club des Girondins de Bordeaux et ceux du Stade Montois Rugby.
Deux clubs empreints d'un riche palmarès et d'une illustre histoire.
Le but est d'échanger sur les résultats et la vie des deux clubs à travers les articles, sondages et les podcasts pour lesquels vous pourrez donner votre avis et même participer.
Nous nous efforçons de faire au mieux et nous espérons que ce blog réussira à vous plaire.
Enfin, au delà de ces deux clubs, nous parlerons également de sport en général ( Podcasts, Résultats, Forum etc… ).
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Rappel

Palmarès FCGB :

□ D1 ou Ligue1 - 6 fois Champion : 1950, 1984, 1985, 1987, 1999, 2009
□ D2 - 1 fois Champion : 1992.
□ Coupe de France - 4 fois vainqueur : 1941, 1986, 1987, 2013
□ Coupe de la Ligue - 3 fois vainqueur : 2002, 2007, 2009
□ Trophée des champions - 2 fois vainqueur : 2008, 2009

Palmarès SMR :

□ Championnat de France - 1 fois champion : 1963
□ Championnat de France de Pro D2 - 1 fois champion : 2002
□ Challenge Yves du Manoir ( ancienne coupe de France ) - 3 fois vainqueur : 1960, 1961 et 1962.


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vendredi 17 février 2017

Girondins de Bordeaux 0 - 3 Paris

Au Matmut, les Girondins de Bordeaux n’assurent pas
Bordeaux n'a pas pu offrir une victoire de prestige à ses supporters, Paris était au dessus........ 

Très vite mené au score, (Cavani, 6'), Bordeaux va vite sombrer et encaisser un deuxième but en première période (Di Maria, 41'). En seconde période, Bordeaux va entièrement couler en concédant le troisième et dernier but marqué par Cavani (48'), auteur ce soir d'un doublé.
Paris va ensuite gérer sereinement son avance.
Bordeaux essaiera d'égaliser dans le dernier quart d'heure mais en vain.
Maladroits et empruntés, les Bordelais n'ont pas pu sauver l'honneur sur leur pelouse, dans un stade plus garni qu'à l'accoutumée.
Les Girondins stagnent au classement et manquent une occasion de prendre seuls la 5ème place.


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Bordeaux s’est logiquement incliné au Matmut Atlantique face à un PSG sérieux et efficace (0–3)


Tout simplement trop fort. Après le 4–1 infligé aux Bordelais en Coupe de la Ligue, le PSG s’est à nouveau imposé au Matmut Atlantique avec un but de Di Maria et un doublé de Cavani. Avant un match charnière face à Barcelone, Paris s’est rapidement mis sur de bons rails avant de se mettre à l’abri avant la mi-temps. Les Girondins n’ont jamais trouvé la clé dans la défense francilienne.

Le match

Un stade quasi plein, un match de gala face à une équipe de haut de tableau et… un but dès la 6e minute avec une superbe volée de Cavani sur un dégagement dans l’axe de Jovanovic (0–1). Les vieux fantômes du match face à Monaco et le cinglant 4–0 resurgissent d’entrée de match.
Quatre jours avant un match crucial face à Barcelone, le PSG est sérieux, appliqué, inspiré avec notamment le retour de Verratti en chef d’orchestre. C’est lui qui lance l’offensive de Di Maria qui voit son tir repoussé par Carrasso (16e). Bordeaux ne veut pas courber l’échine et tente avec une tête de Sankharé (17e) et une frappe de Rolan (23e), bien stoppées par Trapp. Les Girondins ne restent pas groggys après le premier but parisien contrairement au match face à Monaco mais se heurtent systématiquement au verrou parisien.

Le jeu bordelais manque clairement de spontanéité et le PSG en profite. Sur un contre éclair, Verratti sert Di Maria sur un plateau dans le dos de la défense, l’Argentin ajuste Carrasso d’un ballon piqué impeccable. Le break est fait (40e, 0–2) avant la pause. Le PSG est en contrôle et Bordeaux ne trouve pas les solutions dans l’arrière-garde francilienne.

Le début du second acte se calque sur l’entame de match. Di Maria, encore lui, centre sur l’inévitable Cavani qui claque une nouvelle volée gagnante dans le petit filet de Carrasso (0–3, 48e). Cette fois-ci, Bordeaux a pris un vrai coup sur la tête. Décevant et peu inspiré, Ménez sort sous les sifflets et cède sa place à Kamano. Emery fait souffler ses cadres en sortant notamment Verratti et Di Maria.
En confiance après son doublé à Caen, Kamano s’illustre rapidement en servant Vada, lui aussi entré en jeu, dans la surface, mais l’Argentin bute sur Trapp (66e). Le PSG ronronne mais Bordeaux reste trop timoré. Rolan passe à son tour tout près de l’ouverture du score en contrant un dégagement de Kimpembé (77e).

Comme en Coupe de la Ligue, le PSG termine le match sans forcer, se contentant de gérer son avantage qui lui permet de recoller provisoirement au leader monégasque. Bordeaux devra lui immédiatement rebondir à domicile face à Guingamp le 19 février pour rester coller au wagon européen.

La déclaration

Jérémy Toulalan au micro de Canal : "On a essayé d’aller les chercher haut mais dès qu’ils récupéraient, ils allaient très vite vers l’avant. Le plus important c’est de tenir face à une équipe comme ça mais on prend un but rapide et après c’est difficile. Il faut pas tout mettre à la poubelle. Ce soir, on avait des intentions de jouer mais on tombe sur une grosse équipe de Paris".

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Paris.


Source : dailymotion.com 

20ème Journée : Carcassonne 25 - 22 Stade Montois

Antoine Lescalmel, le demi d’ouverture de l’USC, a réalisé un 100 % au pied, inscrivant 20 des 25 points de Carcassonne.
Les Montois perdent le match et le bonus offensif en toute fin de match.... Cruel..... 

Malgré 3 essais à 1, les Montois ont été trop sanctionnés et moins adroits au pied (Lescalmel 100% et les Montois ont manqué une transformation et une pénalité) pour pouvoir l'emporter.
Menant encore 18-22 à trois minutes de la fin du match, les Landais vont encaisser un essai rédhibitoire qui a scellé le score.
Pourtant, c'est bien le Stade Montois qui a montré un beau visage et qui a joué un meilleur rugby.
Hélas, encore trop de fautes sifflées contre les Montois qui ne méritaient pas de perdre un match, qui était pourtant largement à leur portée.
Le point de bonus défensif semble bien amer, tant les efforts ont été déployés pour l'emporter.
C'est clairement trois point de perdus au classement.
Les Montois devront donc se refaire la cerise et gagner la prochaine rencontre face à un concurrent direct à domicile, Colomiers.


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Mené jusqu’à la 76e minute par une équipe de Mont-de-Marsan qui avait en main le bonus offensif, Carcassonne a arraché la victoire hier, vendredi soir, au stade Albert-Domec. Un succès de prestige qui lui offre le droit de rêver à une fin de saison palpitante.

A quatre minutes près, Mont-de-Marsan avait réalisé le «coup parfait». Joël Koffi, le 3e ligne de l’USC le reconnaissait lui-même, quelques minutes après cette victoire arrachée par les Carcassonnais dans les derniers instants, comme ils l’ont déjà fait tant de fois cette saison. Avec ce succès de prestige conquis contre un candidat déclaré aux demi-finales d’accession, les Carcassonnais n’ont certes pas changé de place au classement. Ils sont toujours, au soir de cette 20e journée, en 7e position. Mais cette victoire, la 11e de la saison, leur garantit, sauf cataclysmique fin d’exercice, une saison de plus, la prochaine, en Pro D2. Et leur offre sans doute aussi l’occasion de se mêler à la lutte pour le Top 5. Pour gagner ce droit, les Carcassonnais ont d’abord pu compter sur M. 100 %.

Dans une première mi-temps jouée avec l’appui du vent, Antoine Lescalmel a enchaîné sans trembler. Face aux poteaux, à 15 m. Mais aussi à gauche ou à droite des perches, à 40 m et plus. De quoi mener l’USC devant à la mi-temps, tout en ayant largement laissé à Mont-de-Marsan l’usage du ballon, avec un gain minimal: celui de l’essai à la 18e minute par Malafosse, née d’une touche à 20 m de l’en-but audois, avec un petit relais avant que Malafosse ne marque.

  • Le terrible essai en contre de la 62e
L’USC avait même été tout près, contre le cours du jeu, de s’offrir une avance encore plus conséquente que le 15-8 sifflé à la mi-temps: mais Marrou, servi par Lescalmel, commettait un en-avant dans l’en-but. Pas de quoi enlever aux Montois leurs envies de grand large, et surtout de bonus offensif. Pari tenu lorsque Brethous inscrivait le 2e essai landais dès la 52e. Pari gagné à la 62e avec un terrible 3e essai, sur un contre de 80 m de Salawa, auteur d’une offrande pour son arrière Gerber. Mont-de-Marsan, en souffrance en mêlée fermée depuis quelques minutes, venait pourtant de subir un terrible maul sur plus de 20 mètres. Jusqu’à ce qu’une croisée de Lescalmel ne trouve les bras de Salawa. Mont-de-Marsan basculait alors devant, 18-22, au pire des moments. Mont-de-Marsan, avec ses cinq points au compteur, faisait alors une des belles affaires de cette 20e journée où les gros étaient invités à s’expliquer. C’était sans compter sur la folle envie carcassonnaise. A la 73e, Brana, servi par Roidot, commettait un en-avant à 5 mètres de la ligne. Partie seulement remise. Une première pénaltouche, à la 75e, valait répétition. Une minute plus tard, Paiva était emmené par le pack de l’USC derrière la ligne. Une transformation de M. 100 % pour la forme, et Carcassonne ramenait le compteur de Mont-de-Marsan de cinq à un point.

Article : l'independant.fr 

Résumé en images de la rencontre entre Carcassonne et le Stade Montois.


Source : dailymotion.com

24ème Journée : Caen 0 - 4 Girondins de Bordeaux

Girondins de Bordeaux : Jovanovic a séduit
Jovanovic, nouvelle jeune recrue de Bordeaux au mercato, a fait le job........

Bordeaux a été très réaliste à Caen. Face à une équipe peu mobilisée, Bordeaux a été sérieux et sur les 4 tirs cadrés, 4 buts ont été marqués.
Kamano a été l'homme du match avec 2 buts et 1 passe décisive...
De bon augure avant la réception de Paris vendredi.

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Belle opération de Bordeaux qui s’impose grâce à des buts de Rolan, Plasil et Kamano (doublé) et remonte provisoirement à la hauteur de la cinquième place.


La synthèse

Décevants face à Rennes samedi, les Bordelais ont rendu une copie très propre à Caen, où ils se sont sereinement imposés (4–0) face à des Caennais sans grande volonté et qui leur ont offert les deux premiers buts en début de match. Ils restent invaincus en championnat en 2017 et reviennent à hauteur de Saint-Étienne, cinquième.

Le résumé

Un cadeau, puis un autre : voici comment s’est dessinée la victoire des Girondins ce mardi à Caen. Il y a d’abord eu cette remise complètement manquée de Leborgne vers Vercoutre dont Rolan a impeccablement profité (0–1, 10e), puis cette erreur incompréhensible du portier normand sur une frappe anodine de Kamano (0–2, 21e).

Les Bordelais, qui ont failli concéder l’ouverture du score en tout début de match sur une tête de Karamoh de peu à côté (4e), n’ont donc vraiment pas eu à forcer leur talent pour faire la différence, simplement à saisir les opportunités offertes par un adversaire fébrile (17e défense du championnat). Et lorsqu’ils ont patiemment construit une attaque placée de droite à gauche, Kamano, servi par Plasil, est passé tout près du doublé (39e).

La seconde période n’a pas bouleversé l’ordre établi. Les Girondins, supérieurs techniquement et sérieux derrière, à l’image d’un Jovanovic convaincant pour sa première, se sont appliqués à dérouler leur jeu jusqu’à trouver des failles, souvent ouvertes par le jeu très vertical de Sankharé ou les dribbles de Malcom.

D’autant que Caen ne s’est quasiment jamais embarrassé à exercer un pressing, y compris dans sa moitié de terrain. Et c’est dans une défense apathique que Kamano s’est baladé pour inscrire le troisième but (0–3, 63e). Laborde n’a pas réussi à aggraver la note (80e), contrairement à Plasil dont la frappe sèche a trouvé le petit filet (0–4, 90e).

Les notes de la rédaction :

7/10 : Kamano
6/10 : Carrasso, Gajic, Jovanovic, Pallois, Sabaly, Plasil, Toulalan, Malcom, Sankharé, Rolan


L’homme du match : François Kamano

Titulaire à gauche de l’attaque bordelaise, François Kamano a fait preuve d’une belle efficacité en marquant deux des quatre buts bordelais. L’ancien Bastiais profita à chaque fois des largesses de la défense caennaise, pour montrer la qualité de ses dribbles et de son tir enveloppé du pied droit. Sur le premier de ses buts, il surgit à gauche sur une passe de Sankharé, enrhuma Leborgne d’un passement de jambes et décocha un tir, dont le rebond obligea Vercoutre à tenter un arrêt du pied droit, en pure perte. Sur le second, il emmena encore Leborgne, le crocheta sur l’intérieur et parvint à marquer son deuxième but, en dépit de la présence de Yahia. Ainsi, le Guinéen a-t-il porté son total buts à cinq unités, devenant, avec Diego Rolan, auteur de l’ouverture du score, le co-meilleur buteur des Girondins.

Le chiffre : 1

Preuve du match totalement raté par les Caennais : ils n’ont cadré qu’un seul tir (sur quatre tentatives) durant la rencontre. Il a fallu attendre la 92e minute pour voir Bazile obliger Carrasso à se détendre sur sa gauche pour repousser le ballon.

La réaction : Cédric Carrasso

"On a fait un match du standing des Girondins, un match plein. Quand on a l’occasion de marquer des buts on les met, on est sérieux jusqu’au bout. Quand tu prétends jouer le haut du tableau, il faut sanctionner quand tu en as la possibilité et ce soir on l’a fait. Ce n’est qu’un début mais ce soir on ressemble à une vraie équipe." (au micro de Bein Sports)

Article : sudouest.fr 

Résumé en images de la rencontre entre Caen et Bordeaux.


Source : dailymotion.com

lundi 6 février 2017

23ème Journée : Girondins de Bordeaux 1 - 1 Rennes

Ligue 1 : les Girondins de Bordeaux accrochés par Rennes (1–1)
Gourcuff a égalisé pour les Bretons qui ont dominé ce match contre un Bordeaux endormi...... 

Les Bordelais peuvent se contenter du point du match nul qui au final n'est pas une mauvaise opération.
Les Rennais ont dominé dans la plupart des compartiments du jeu.
Bordeaux a eu la chance sur la seule action digne de ce nom d'ouvrir le score par Ménez qui reprend bien un ballon au second poteau (1-0, 56'). Mais Rennes n'abdique pas et égalise par l'intermédiaire de l'ancien enfant chéri du club, Yohan Gourcuff d'une tête croisée (1-1, 69'). Se réveillant enfin, Bordeaux va tout faire dans les cinq dernières minutes pour marquer le but de la victoire mais Ménez, par deux fois, échoue de peu.
Finalement, Bordelais et Rennais se quittent avec le partage des points, bien heureux pour les premiers....


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Un but de Yoann Gourcuff a répondu à l’ouverture du score de Jérémy Ménez.

Trop lymphatiques pendant les 45 premières minutes, les Girondins de Bordeaux ne s’en sortent pas si mal en concédant le nul sur leur pelouse face au Stade Rennais. Certes, Jérémy Ménez, déjà auteur de l’ouverture du score, a été privé du doublé en toute fin de match par un incroyable réflexe de Benoît Costil, mais les Bretons ne méritaient pas de perdre cette rencontre. Dominateurs mais peu efficaces, ils ont pu compter sur la vista de Yoann Gourcuff, auteur du premier but de sa carrière contre Bordeaux.

Le match : 1–1

Les Girondins sont en souffrance, sans rythme et incapables d’aligner trois passes correctement. Ils offrent même des balles de contres aux Rennais qui n’en profitent pas, à l’image d’une frappe croisée d’Amalfitano déviée du bout des doigts par Carrasso (23e).
Maîtres du ballon (58% de possession en première mi-temps !), les Bretons sont omniprésents, à l’image de Gourcuff, constamment en recherche du geste précis et efficace. Et nul Bordelais ne l’inquiète jamais, tant le pressing girondin est absent en milieu de terrain.

Carrasso voit affluer les occasions rennaises et Sio parvient à le crocheter, mais Lewczuk sauve les siens en se jetant… et en se blessant. Et voilà la recrue du mercato, Younousse Sankharé déjà appelé en renfort avant même la pause (44e).

Alors qu’on ne voit pas comment les Girondins vont se sortir la tête de l’eau, Jocelyn Gourvennec décide de remplacer Ounas par Malcom. Et aussitôt, comme par magie, Bordeaux se découvre un nouvel allant offensif. Les transmissions se font plus nettes, l’attaque du ballon plus agressive, et l’ouverture du score survient.

Gajic centre à ras de terre au deuxième poteau, où Ménez reprend du gauche dans un angle peu évident sous les jambes de Costil (56e). Bordeaux mène 1–0, une hypothèse qui semblait pourtant relever du fantasme quelques minutes auparavant.

Mais même si les Girondins vont mieux, ils n’offrent pas encore toutes les garanties d’un succès, bien au contraire. Sur un centre en première intention de Baal, côté gauche, Gourcuff échappe au marquage de Sankharé au premier poteau pour exécuter une tête plongeant décroisée qui vient tromper Carrasso (1–1, 69e).

Du coup, et même si le score n’évoluera plus, le match devient vraiment plaisant. Sur un contre, Laborde hérite du ballon en position idéale mais choisit de frapper au premier poteau, ce qui lui fait rater le cadre (76e). Les Bretons se créent eux aussi quelques jolies mais vaines occasions, de même que Ménez, dont la frappe puissante et à bout portant est détournée par Costil jusque sur sa barre transversale. La détermination et la technique de l’ancien joueur du Milan AC a fait merveille sur cette action. Le genre de choses que le public du Matmut Atlantique aimerait voir un peu plus souvent. Et pas qu’en fin de match !

L’homme du match

Jérémy Ménez vécut un drôle de match. Invisible et anonyme en première période où il ne fit rien des ballons qui lui passèrent par les pieds, il fut le Bordelais le plus dangereux de la deuxième période et seule, la malchance l’empêcha d’offrir la victoire à ses couleurs. L’ex-Milanais se trouvait au bon endroit pour reprendre le centre de Gajic, manqué par Laborde, ouvrant le score sur un tir en force pour son troisième but de la saison (56e). Il signa encore un rush percutant à la 76e, conclu par un centre gaspillé par Laborde. Puis Costil repoussa sur la transversale son tir de la 88e alors qu’il semblait filer au fond des filets. Enfin, sur cette balle de Malcom, il décocha un tir croisé qui, cette fois, rebondit sur le montant gauche mais ne put être repris par Rolan, à contrepied.

Les notes de "Sud Ouest"

 

6/10 Carrasso, Lewczuk, Ménez
5/10 Gajic, Pallois, Pellenard, Toulalan, Vada, Sankharé
4/10 Plasil, Laborde, Ounas

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Rennes.


Article : sudouest.fr

16ème de Finale CDF : Girondins de Bordeaux 2 - 1 Dijon

Coupe de France : les Girondins ont de la réserve
Les Bordelais ont joué à se faire peur face à Dijon mais se qualifient finalement en 8ème......... 

Les jeunes Montois ont été à l'honneur pour ce 16ème de finale de coupe de France. D'abord Loïs Diony qui a égalisé à dix minutes de la fin du match pour Dijon (1-1, 83') puis Gaëtan Laborde qui a donné le but de la victoire aux Girondins dans les arrêts de jeu (2-1, 91'). Les Girondins ont dominé ce match globalement et grâce à Malcom, avaient ouvert le score (1-0, 52'), de la tête sur un ballon qui trainait dans la surface....
Puis, Bordeaux s'est fait peur suite à l'égalisation Dijonnaise avant de reprendre définitivement l'avantage en fin de match.
Une victoire qui fait du bien et qui permet aux Marine et Blanc de passer en 8ème de finale où ils affronteront Lorient à domicile.

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Maîtrisant le match face à Dijon pendant 80 minutes, les Bordelais ont été rejoints avant de décrocher leur billet pour les 8es de finale.

Il est donc écrit que les Bordeaux – Dijon doivent se décider dans les arrêts de jeu cette saison. Après leur succès au bout du temps réglementaire fin novembre en championnat (3–2), les Girondins ont récidivé ce mardi (2–1). Mais autant ils étaient revenus de nulle part il y a deux mois, autant ils auront maîtrisé longtemps le match ce mardi avant d’être rejoints à huit minutes de la fin et de se faire peur. Ils se qualifient finalement logiquement pour les 8es de finale, qui se disputeront les 28 février et 1er mars.

Le match

Reconduits en 4–3–3 malgré l’absence de Jérémy Toulalan, les Girondins ont vite posé leur emprise sur le match avec un bloc compact à la récupération. Après dix premières minutes intéressantes, il aura manqué du rythme offensif et de la profondeur dans une première période dominée avec peu de danger. Les premières réelles occasions surgissaient coup sur coup en cinq minutes : une percussion de Vada conclue d’une frappe déviée à côté (35e), une seconde à ras de terre de l’Argentin cette fois détournée par Leroy (36e) et surtout un face à face pour Rolan. Seul après un joli une-deux avec Plasil, l’attaquant uruguayen a placé son plat du pied au ras du poteau (41e).

Ne lâchant pas l’emprise en début de seconde période, Jaroslav Plasil et ses coéquipiers ont vite été récompensés. Sur un ballon récupéré par Vada, Malcom accélérait et décalait le Tchèque. Le centre repoussé de la tête, revenait sur le Brésilien, qui ne laissait pas passer sa chance, seul à l’entrée de la surface (1–0, 54e). Face à des Dijonnais remaniés et bien contenus (lire ci-dessous), les Bordelais n’auront toutefois pas réussi à se mettre à l’abri. Plasil, bien servi en retrait par Kamano, a trop levé son tir (79e). Résultat : le Montois du DFCO Loïs Diony, sorti du banc, est venu les punir d’une frappe parfaite au ras du poteau (1–1, 83e). Leur mérite aura été de réaccélérer. Et après un coup de rein et un centre parfait de de Menez, Laborde, de la tête dans le but vide, qualifiait son équipe par son huitième but cette saison (2–1, 92e).

Un homme dans le match

Un an tout juste après son arrivée, Mauro Arambarri a vécu sa troisième titularisation sous le maillot girondin, la première cette saison après deux entrées en jeu. En sentinelle à la place de Jérémy Toulalan, le jeune Uruguayen a cherché à orienter en jouant simple et propre, hormis deux pertes de balle dangereuse (15e, 73e). Défensivement concentré, il est à créditer d’un bon retour (44e) dans sa surface. Offensivement prudent, il aurait pu marquer sur un corner et un cafouillage (22e). A revoir face à une adversité plus élevée.

Le chiffre : 3

Arrêts pour Cédric Carrasso, de retour après trois mois d’absence : sur une demi-volée de Marié à 20 mètres suite à un coup-franc repoussé par la défense (38e) ; la seconde écrasée de Bahamboula de la même distance (69e) ; la troisième de Sammaritano (73e). Sur le quatrième, de Loïs Diony, au ras du poteau, il était trop court.

Le fait du match

Comme attendu à cet horaire, le stade a sonné creux avec la plus faible affluence (5738 spectateurs) depuis l’inauguration du stade en mai 2015. Les quelque 300 ultras présents s’en sont amusés, arpentant le virage Sud. Saluant ostensiblement le retour de Cédric Carrasso au début du match et à son premier arrêt, ils ont commenté l’actualité des transferts d’un « Sertic, entends-tu » en première période. Et passer à autre chose. Sifflant brièvement après l’égalisation de Diony, ils ont aussi su pousser leur équipe à aller chercher la qualification dans le final.

Les notes

7/10 Vada, Plasil, Malcom
6/10 Arambarri, Kamano
5/10 Lewczuk, Carrasso, Gajic, Pallois, Pellenard
4/10 Rolan, Poundjé

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Dijon.


Source : youtube.com