Présentation du site

Ce blog a pour but de réunir les supporters du Football Club des Girondins de Bordeaux et ceux du Stade Montois Rugby.
Deux clubs empreints d'un riche palmarès et d'une illustre histoire.
Le but est d'échanger sur les résultats et la vie des deux clubs à travers les articles, sondages et les podcasts pour lesquels vous pourrez donner votre avis et même participer.
Nous nous efforçons de faire au mieux et nous espérons que ce blog réussira à vous plaire.
Enfin, au delà de ces deux clubs, nous parlerons également de sport en général ( Podcasts, Résultats, Forum etc… ).
Pour optimiser le blog, préférez les navigateurs internet Google Chrome ou Mozilla.

Bonne visite.

Rappel

Palmarès FCGB :

□ D1 ou Ligue1 - 6 fois Champion : 1950, 1984, 1985, 1987, 1999, 2009
□ D2 - 1 fois Champion : 1992.
□ Coupe de France - 4 fois vainqueur : 1941, 1986, 1987, 2013
□ Coupe de la Ligue - 3 fois vainqueur : 2002, 2007, 2009
□ Trophée des champions - 2 fois vainqueur : 2008, 2009

Palmarès SMR :

□ Championnat de France - 1 fois champion : 1963
□ Championnat de France de Pro D2 - 1 fois champion : 2002
□ Challenge Yves du Manoir ( ancienne coupe de France ) - 3 fois vainqueur : 1960, 1961 et 1962.


FORUM DU BLOG : http://forum.marine-et-jaune.xooit.fr/index.php
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mercredi 29 juin 2011

Campagne d'abonnements : saison 2011-2012












La campagne d'abonnements pour les Girondins de Bordeaux et le Stade Montois est actuellement visible sur les sites officiels des deux clubs.

Pour plus de renseignement, veuillez cliquer sur les liens ci-dessous :
Site officiel FCGB
Site officiel Stade Montois Rugby

N'hésitez pas à sauter le pas pour venir encourager nos deux clubs de coeur !!!!!
Supporters, abonnez-vous au Stade Montois et/ou aux Girondins de Bordeaux !!!!!!
Ou faites comme certains, abonnez-vous à l'un des deux clubs et allez voir l'autre quand vous le pouvez......
A bientôt autour des tribunes de Guy Boniface ou de Chaban Delmas !!!!!

mardi 28 juin 2011

Transfert : Pierre Ducasse signe à Lens

Le Racing Club de Lens a officialisé la signature de Pierre Ducasse,  pour les 5 prochaines saisons.
En fin de contrat avec les Girondins de Bordeaux, le milieu de terrain défensif a pris part à dix rencontres la saison dernière, dont quatre titularisations. Age de 24 ans, il rejoint Jean-Louis Garcia, ancien coach de la réserve de Bordeaux et nouvel entraîneur du club artésien, relégué en Ligue 2. Lens sera le troisième club de Ducasse, après les Girondins et Lorient, où il avait été prêté lors de la saison 2009-2010.
Le site officiel des Girondins souhaite "la meilleure réussite possible" à Pierre Ducasse, tout en rappelant "son but d'anthologie inscrit au Stade Vélodrome lors de la saison 2007-2008".

Info : sudouest.fr / Photo : fcgirondins.fr

jeudi 23 juin 2011

Transfert : Nicolas Maurice-Belay, 1ère recrue des Girondins de Bordeaux

Les Girondins de Bordeaux
ont "enfin" commencé leur recrutement. Selon le journal Sud-Ouest, Nicolas Maurice-Belay, milieu offensif de Sochaux, serait sur le point de signer avec les Girondins de Bordeaux. Ce dernier étant en fin de contrat, Bordeaux s'est contenté de recruter ce joueur qui plait à notre nouvel entraineur! Ses statistiques parlent d'elles même ! 166 matchs de L1 pour 4 buts ! Ça déchire ! Bordeaux continue dans le recrutement de type L2 ! Ça promet !! ( Signature de 3 ans paraphé ce vendredi 24 Juin).

vendredi 17 juin 2011

Transfert : Fernando part de Bordeaux pour un club saoudien

"Fernando c'est fait". Jean-Louis Triaud nous a confirmé cet après-midi le départ du milieu de terrain Fernando Menegazzo pour le club Al-Shabab de la capitale saoudienne Riyad où il doit s'engager pour 3 ans.

Le président bordelais n'a pas confirmé le montant de la transaction mais elle approcherait les 6 millions d'euros souhaités par les Girondins.

Agé de 30 ans, Fernando a disputé 241 matchs (23 buts) en six saisons sous le maillot des Girondins au poste de milieu défensif et de défenseur central. "Il a beaucoup apporté à Bordeaux, on l'aurait bien conservé mais il a l'occasion d'assurer ses vieux jours et nous ne nous sommes pas opposés à son départ".

Après Ramé (Sedan) et Saunier (Troyes), Fernando est le troisième joueur à quitter officiellement les Girondins en ce mois de juin.

Article et photo: sudouest.fr

L'un des seuls joueurs qui mouillaient le maillot girondin la saison dernière quitte le club.
Espérons pouvoir retrouver un joueur de la trempe de Fernando, qui a beaucoup donné aux marine et jaune.
Sa classe, son abnégation et sa disponibilité resteront dans les mémoires des supporters.
Merci Fernando pour ce que tu as apporté aux Girondins de Bordeaux !!!

ndlr.

jeudi 16 juin 2011

Transferts : 3 nouvelles arrivées au Stade Montois

Le Stade montois va se renforcer avec trois nouveaux joueurs.

Le pilier argentin Mauricio Guidone (23 ans ; 1,88m ; 104kg - Photo 2), formé à la Plata et qui évoluait à Las Stampas, va rejoindre tout d'abord le club landais.

Il sera imité par le tout jeune pilier sud-africain Olivier Kebble (1,90m ; 122kg), issu de la formation anglaise, qui va intégrer le centre de formation de Mont-de-Marsan.

Enfin, le deuxième ligne Berend Botha (23 ans ; 1,90m ; 120kg - Photo 1), qui jouait la Currie Cup avec les Bulls, va également rejoindre le Stade montois.
Il a également joué à Parme ( Italie ndlr).

Article : rugbyrama.fr

Stade Montois : Cazaubon sans concession

Philippe Cazaubon, 52 ans, patron des transports du même nom, préside aux destinées du rugby professionnel montois depuis quatre ans. En 2007, il avait été adoubé par Benoît Dauga, aujourd'hui il démissionne. Pour tirer un bilan de sa présidence, jeudi matin dernier, il arrive à notre agence montoise décontracté, en chemise à fleurs et légèrement en retard. Un café et un verre d'eau accompageront deux grosses heures d'entretien. Ça va souffler.

« Sud Ouest ». Quel bilan tirez-vous de ces quatre ans de présidence ?

Philippe Cazaubon. Quel bilan ? On peut en tirer plein. Sur le plan financier, cela a toujours été compliqué. Tout le monde sait que ce n'est pas ce qui me passionne dans la vie. L'argent est un moyen et un moteur de projets. Et forcément, il faut toujours être à la recherche de fonds. Mais c'est le lot de tous les présidents de clubs de rugby. On a néanmoins toujours réussi, même si cela n'a jamais été simple.

En quatre ans, quelle a été l'évolution du budget ?

On a démarré avec un budget de 2,6 millions d'euros en 2007 pour atterrir à un budget prévisionnel de plus de 4 millions pour la saison prochaine, avec une pointe lorsqu'on est passé en Top 14. La première année, on a fait de grandes choses avec peu de moyens. Sans perdre de vue qu'on n'attire pas les mouches avec du vinaigre. On a pu faire ces choses-là parce qu'on était porteur d'un discours ambitieux pour le futur. Lors de cette saison faite de bouts de ficelle, on a insufflé une dynamique autour du club. Il y avait un projet. Il y a eu des victoires avec de nouveaux coaches, un nouveau manager. C'est cette année-là que la mascotte est apparue, l'hymne aussi. Que la rénovation du stade a été engagée. Même si elles n'ont pas pu ou su s'inscrire sur la durée, deux personnes m'ont beaucoup aidé à ce moment-là. Eric Lamarque (le manager) et Bruno Fleury (le chargé de communication) ont eu une grande importance.

Cette première saison de « bouts de ficelle » est votre préférée ?

C'est forcément la plus belle car c'est celle de l'innocence. Il y avait une forme de candeur. Il régnait un parfum d'enfance sympathique. J'ai toujours dit qu'un projet ne naissait pas avec de l'argent. En revanche, c'est l'argent qui le fait vivre. Et force est de constater que, de cette belle dynamique sportive de la première année, n'a jamais pu naître une belle dynamique financière. En plus, cette première année, on la clôture par un match somptueux (NDLR : victoire en finale d'accession contre le Racing-Métro, 32-23, le 21 juin 2008 à Limoges). Et sur ce match, nous n'avons pas pu capitaliser. On a eu l'arrogance de venir jouer les trouble-fêtes, et de belle manière en plus. On a agacé en haut lieu et on nous l'a fait payer. … Ce match face au Racing restera dans les annales du rugby. À ce moment-là, je pensais que le plus dur était fait. Je ne savais pas qu'il était à venir…

Le plus dur, est-ce la deuxième année, celle en Top 14 ?

Tout le monde était très content de jouer à ce niveau mais, à partir du deuxième tiers de la saison, on en avait assez. Parce que perdre, perdre, perdre… C'est très compliqué. Après, le retour en Pro D2 a été ce dont j'avais peur. Vous êtes catalogué favori, vous ne rencontrez que des équipes qui se transcendent. On n'était pas préparé à ça. On est une équipe qui joue. En Top 14, on était respecté pour cela. Nous avons oublié que la Pro D2 est un championnat plus âpre. Le temps de s'y remettre, il nous a fallu une saison. Une saison qui a été rendue compliquée par les licences bloquées. J'ai le sentiment que nous avons toujours été dans le viseur de la DNACG, toujours traités différemment des autres. Quand ils nous retirent cinq points à Noël 2009 pour un retard de 15 jours sur une augmentation de capital, ils en laissent 18 de délai au Stade Français pour trouver une issue. Et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres. Je n'ai jamais dit que l'on était les Messieurs Propres du rugby mais j'estime que, parmi ceux qui avaient des problèmes, nous étions ceux qui en avaient le moins, et c'est pourtant nous qui avons été les plus punis.

Pourquoi ?

C'est sûrement lié à des contentieux antérieurs mais aussi à ma non-allégeance à un système bananier et corrompu (il fait attention à ce qu'il dit). À la tête de ce système, se succèdent des hommes. On avait un despote éclairé à la tête de la Ligue. Il a été remplacé par un cardinal d'alcôve. Qui commande ? Où sont pris les ordres ? Quelle impartialité à la DNACG ? Pour ma part, les réponses sont dans les questions. Moi, je défends une cause : le club. Mon but n'est pas d'obtenir une reconnaissance de ce milieu. Je suis profondément libre. Et je tenais à ce que le club le reste. Ces cinq points, je ne les ai jamais digérés. C'est une profonde injustice. Etant donné qu'il n'y a jamais eu personne pour le reconnaître dans les hautes instances, moi, j'ai décidé que ces personnes, je ne les verrai plus. La vie est trop courte pour que je fréquente des gens comme ça.

Entre aujourd'hui et ce moment, il s'est tout de même passé un an et demi…

À partir de ces cinq points volés, j'ai perçu la nécessité que le club soit mieux représenté dans les instances. On a fonctionné pendant un moment avec Stephan Mettey, qui, en tant que directeur général, s'est rendu dans les réunions. Mais j'ai compris que je ne pourrais pas rester président seul.

Vous pensiez donc à une coprésidence…

Je ne voulais pas que le club pâtisse du fait que je suis peut-être trop entier. Il est clair que si je restais, c'était au sein d'une organisation bicéphale avec quelqu'un de plus rompu que moi à ces choses parisiennes, doté d'un caractère moins marqué avec qui j'aurais pu travailler. Thierry Blandinières (patron de Maïsadour et membre du directoire) aurait pu être celui-là mais il est trop absorbé par ses activités. C'est dommage, nous étions complémentaires.

Que s'est-il passé ensuite ?

En fin de saison dernière, le club a du mal à boucler son budget. Et à ce moment-là, le conseil de surveillance et l'omnisport du Stade Montois prennent contact avec Jean-Robert Cazeaux pour le convaincre de venir apporter une aide financière et une solvabilité au SMR. Il accepte en émettant comme condition de rentrer au directoire. Ce que j'ai trouvé absolument normal. Mais je me suis très vite rendu compte que des gens avaient fait germer en lui l'idée d'aller plus loin que cela dans ses responsabilités au sein du club. J'ai bien compris que j'avais plus d'ennemis que d'amis au conseil de surveillance et qu'ils avaient suggéré à Jean-Robert Cazeaux de me remplacer. Historiquement, lorsque la SAOS est devenue SASP, mon mandat avait été rallongé de trois ans. Là, en fin de saison, il me restait donc trois ans de présidence. C'est bien pour cela que je parle de démission. J'ai compris qu'il y avait eu quelques réunions de longs couteaux. Il se trouve que Jean-Robert Cazeaux disait ne pas vouloir la présidence. Mais dès que j'ai ouvert la porte, il s'y est engouffré.

Il s'y est engouffré où on l'a poussé ?

L'homme est ambitieux. Je savais que des gens étaient venus lui demander. Je savais que le conseil de surveillance ne me voulait plus. Il n'est pas vivable de rester à la tête du club si le conseil de surveillance ne le veut pas. Il ne peut y avoir qu'une ligne conductrice dans un club. Et celui qui paie et qui veut commander finit toujours par commander. Et c'est normal quelque part. À ce moment là, si je « m'incruste », c'est le bon mot, qui va payer les pots cassés ? Le club. Et ce n'est pas le but. Donc je m'écarte. Parce que, quoiqu'il en dise, depuis le début, il briguait la fonction. Mais peut-être que je me trompe…

Diriger le club conjointement n'aurait pas été possible ?

Jean-Robert Cazeaux et moi avons des façons d'être complètement différentes. Sans apporter de jugement moral d'ailleurs. Il n'y a pas de complémentarité, parce qu'on est là tous les deux pour la même chose. Et il est indéniable que le plus important à ce moment-là, c'est celui qui apporte la solvabilité financière. La goutte d'eau qui a fait déborder le vase et m'a décidé de lui ouvrir la porte en grand a eu lieu à l'AG de l'omnisports. Lorsque son président, Jean-Jacques Crabos, se prenant pour mon père, notre père, m'a tiré les oreilles devant toute une assemblée de gens au sujet de ma gestion du club (NDLR : en décembre 2010). Bientôt, si on l'écoute, il va nous apprendre à marcher sur l'eau. Et il l'a fait en sachant très bien que ce que j'essayais de faire depuis quatre ans, porté par tout le monde, c'était de laisser ce club en Pro D2. Jamais il n'a été fait n'importe quoi au Stade Montois. Simplement, le maximum pour que ce club continue à exister en Ligue professionnelle. Ce que je n'ai pas supporté, c'est qu'au travers de tous les soucis, quelqu'un stigmatise le club et sa gestion, et donc moi avec. C'était petit, inutile et contre-productif. L'annonce de ma démission a suivi ainsi que la proposition à Jean-Robert Cazeaux de me succéder.

Il y a trois semaines pourtant, vous envisagiez encore la possibilité de rester, en vous questionnant sur les conditions…

On a vécu une belle deuxième partie de fin de saison et je souhaite que le club poursuive sur cette dynamique. Donc j'ai dit à Jean-Robert Cazeaux, étant donné que je ne serai plus président l'année prochaine, que j'allais faire ce qu'avait fait Benoît Dauga avec moi, parce que sensiblement, cela s'était passé de la même façon. Il m'avait laissé prendre toutes les décisions concernant l'année d'après. C'était intelligent. Et moi, de mon côté, je pouvais mettre toute mon énergie au service du sportif pour cette fin de saison et celle d'après.

J'ai fait un travail du côté du sportif pour qu'il y ait un maximum de resignatures, en particulier celle des entraîneurs. Et puis, il s'est avéré que sur la fin, j'avais des demandes de certaines personnes, joueurs, supporteurs. Et c'est vrai que j'y ai réfléchi.

Et cette réflexion n'a pas fait évoluer votre position…

Même si force est de constater que non, j'ai essayé de voir s'il y avait une autre possibilité que celle je parte complètement. Le club a semble-t-il trouvé une stabilité financière avec Jean-Robert Cazeaux, je voulais moi de mon côté lui apporter une stabilité sportive. Être d'abord assuré d'une demi-finale et plus si possible. Puis que toutes les resignatures souhaitées soient effectives. Et on a bien vu ce qu'il est advenu, notamment concernant les entraîneurs... Il faut savoir qu'ils n'ont resigné leurs contrats que mercredi dernier (NDLR : le 1er juin). J'aurais peut-être dû avoir un rôle plus important dans ces signatures mais pour finir, s'il me manquait une chose pour me décider, c'est celle-là…

Vous parlez du vrai-faux départ de Marc Dal Maso à Toulon…

L'épisode Dal Maso/Prosper, je l'ai très mal vécu. Surtout les derniers jours. Et je parle bien des deux entraîneurs. Durant quatre ans, je les ai toujours protégés. J'ai toujours fait en sorte qu'ils puissent travailler dans les meilleures conditions possibles. Et il s'est passé des choses que je n'admets pas.

Qu'est-ce que vous n'avez pas admis ?

Les deux entraîneurs ne resignaient pas. Ni l'un ni l'autre (il s'agace).

Ce sont ces tergiversations qui vous ont agacé ?

(Il élude) J'ai très mal vécu tout ça. C'est tout.

Cela vous a-t-il plus affecté que la demi-finale perdue face à Albi ?

Cela me l'a fait oublier. Cela m'a affecté sur un plan idéologique. La demi-finale, je n'en ai voulu à personne. Sportivement, je l'ai mal vécu, comme tout le monde. Mais je me suis dis que le groupe pourrait capitaliser sur la frustration engendrée par ce match en vue de la prochaine saison. Les coaches, c'est autre chose.

Êtes-vous inquiet pour l'avenir du Stade Montois ?

Je ne suis pas inquiet mais attristé. J'espère qu'une ligne directrice sera mise en place même si elle sera forcément différente. L'équipe est forte. Il y a de la stabilité, puisque les entraîneurs sont restés au final. Et ils ont une nouvelle fois fait, à mon avis, un très bon recrutement cette année. Il y aura un bon groupe. Mais quand on finit demi-finaliste, on ne peut voir le Stade Montois autrement qu'en favori pour le dernier carré. Tous les clubs qui nous joueront l'année prochaine auront ça en tête. Mais le potentiel existe. Entraîneurs, staff, pérennité financière, un nouveau président, il y a tout ce qu'il faut pour travailler convenablement. Maintenant, il faut entretenir la flamme. Si ma présence à la tête du club était rédhibitoire pour certains partenaires, qu'ils laissent maintenant libre cours à leur générosité. J'ai ainsi constaté avec plaisir qu'avant de savoir si j'allais vraiment partir, Bernard Bornancin (le patron de Leclerc) est redevenu partenaire du club. Il faut croire que le fait que je reste ou que je m'en aille n'était pas un problème décisionnel pour lui, mais qu'il était plutôt engagé dans une guerre commerciale avec la Storim. Je l'en remercie. Aux autres de suivre, maintenant que je suis parti.

Henri Fouillade (patron de la Storim) a-t-il fait connaître son engagement futur ?

Pour le moment, il ne dit rien. On ne sait pas.

Cette incertitude concernant le devenir du plus gros partenaire du club ne vous empêche pas de tenir un discours optimiste ?

Je suis optimiste parce que Jean-Robert Cazeaux est optimiste. Il est garant, par rapport au club, du budget qu'il est en train de mettre en place pour l'année prochaine. Il faut l'en remercier.

Lors de ces quatre années, y a-t-il des décisions que vous avez prises, ou pas, et que vous regrettez ?

Non, parce que je n'ai pas l'habitude de regretter. Je ne fonctionne pas comme ça. Je pensais seulement, à un moment donné, de par le jeu pratiqué à Mont-de-Marsan, la fidélité à ce que je pense être le rugby d'une manière générale, qu'on allait pouvoir séduire et trouver de l'argent et des partenaires. Je pensais qu'on avait une bonne image. Mais je n'ai pas réussi à vendre cette belle équipe, à la valoriser. Et ça, ça m'embête. Sur le plan sportif, on ne s'est jamais renié, on a toujours été dans ce que le rugby véhicule de bien. Avec des résultats derrière. Je me disais qu'une grosse entreprise, un partenaire national, serait attiré par ça... (Chagriné) On est dans une époque où il vaut mieux faire savoir que savoir faire. On sait faire, mais on n'a pas su le faire savoir.

Beaucoup de clubs ont été confrontés à ce même problème sans réussir à le résoudre…

Oui, mais j'ai la faiblesse de penser que le mien est plus beau. (Rire) Mais ça, c'est les yeux de l'amour. C'est comme les enfants.

A contrario, votre plus grande fierté ?

D'abord, d'avoir trouvé le club en Pro D2 et de le laisser en demi-finales de Pro D2. Ça m'a apporté beaucoup de fierté et de joie d'avoir pu, grâce à cette présidence, vivre mon rêve d'enfant de jouer en première au Stade Montois rugby. J'ai pu servir mon club de cœur en tant que président. J'ai pu porter le maillot pendant quatre ans. Resteront aussi des amitiés avec plusieurs membres de ce groupe. J'espère qu'il y a beaucoup de relations qui s'inscriront dans la durée.

Qu'allez-vous faire maintenant ?

Je ne sais pas. Je suis pluriactif. J'ai d'autres passions. Je laisse la porte ouverte à autre chose. Mais je n'ai pas peur de m'embêter. J'ai tout le temps quelque chose à faire et aujourd'hui, je suis apaisé. Pas aigri.

Interview et photo: sudouest.fr

lundi 13 juin 2011

FC Girondins de Bordeaux : Le calendrier 2011-2012 dévoilé

Les girondins attendront la 7ème journée avant de recevoir un "gros" du championnat, en l'occurence, Lille.
Un calendrier plutôt clément pour Bordeaux.
Mais avec un effectif aussi faible voire plus faible que la saison dernière, Bordeaux devra être sérieux s'il ne veut pas jouer le maintien dès le début de saison.

Voici le calendrier :
http://www.lfp.fr/calendriers/2011_2012/Ligue_1_2011_2012.pdf

mercredi 8 juin 2011

Transferts : Taukafa et Lucu signent au Stade Montois

Deux nouvelles recrues, Ephraïm Taukafa et Ximun Lucu, arrivent au Stade Montois pour la saison prochaine.
Le talonneur tongien Ephraïm Taukafa, 34 ans (1m80-108kg), évoluait à Lyon la saison dernière. Tandis que Lucu, ailier ou arrière de 21 ans (1m83-85kg), était en Espoirs à Biarritz.
A noter que Dhien a signé une année de plus au Stade Montois.

Article : rugbyrama.fr et photos : bo-pb.com et ephraim-taukafa.e-monsite.com.

mardi 7 juin 2011

Transfert ( Off ) : Gillot, nouvel entraîneur des Girondins de Bordeaux

Gillot semble aimer les défis difficiles...

Francis Gillot, qui a qualifié Sochaux cette saison pour la Ligue Europa, prend officiellement les rênes des Girondins de Bordeaux.
La conférence de presse organisée Lundi, au Haillan, en compagnie du président des Girondins de Bordeaux a permis de confirmer officiellement son arrivée devant les nombreux journalistes présents.
Gillot et son staff ( voir article précédent ) ont signé pour deux saisons.
Sans dévoiler un objectif précis, Gillot a indiqué vouloir "redonner de la vie, de l'énergie, de l'empathie à un groupe"...
Très gros chantier, tant l'équipe de Bordeaux est sans âme depuis le printemps 2010...
Gillot saura-t-il trouver la solution ?
Et surtout, lui donnera-t-on les moyens de ses ambitions ?
Nous le saurons dans les 6 mois à venir... environ...

Photo : 20minutes.fr

Transfert : Dal Maso contacté par le RC Toulon, reste au Stade Montois


Malgré des rumeurs bien fondées d'un contact avec le RC Toulon, club du TOP 14, Marc Dal Maso restera finalement au Stade Montois.
Honorant ainsi l'accord verbal donné en fin de saison au club de la préfecture landaise, il sera donc toujours entraîneur des avants en septembre.
Une saison qui devrait avoir pour objectif au minimum une place dans les 5 premiers et au mieux, la montée...

Photo : la dépêche.fr

samedi 4 juin 2011

Transferts : Gillot, proche de signer aux Girondins de Bordeaux

Francis Gillot pourrait être officiellement nommé entraîneur de Bordeaux en début de semaine prochaine.

Les Girondins de Bordeaux et Jean-Louis Triaud ont convié les journalistes à une conférence de presse, lundi après-midi au Haillan. Le président bordelais pourrait officialiser à cette occasion l’arrivée de Francis Gillot comme nouvel entraîneur.
Il sera accompagné de ses adjoints Alain Benedet et René Lobello.

Info : sport24.com