Présentation du site
Ce blog a pour but de réunir les supporters du Football Club des Girondins de Bordeaux et ceux du Stade Montois Rugby.
Deux clubs empreints d'un riche palmarès et d'une illustre histoire.
Le but est d'échanger sur les résultats et la vie des deux clubs à travers les articles, sondages et les podcasts pour lesquels vous pourrez donner votre avis et même participer.
Nous nous efforçons de faire au mieux et nous espérons que ce blog réussira à vous plaire.
Enfin, au delà de ces deux clubs, nous parlerons également de sport en général ( Podcasts, Résultats, Forum etc… ).
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Bonne visite.
Rappel
Palmarès FCGB :
□ D1 ou Ligue1 - 6 fois Champion : 1950, 1984, 1985, 1987, 1999, 2009
□ D2 - 1 fois Champion : 1992.
□ Coupe de France - 4 fois vainqueur : 1941, 1986, 1987, 2013
□ Coupe de la Ligue - 3 fois vainqueur : 2002, 2007, 2009
□ Trophée des champions - 2 fois vainqueur : 2008, 2009
Palmarès SMR :
□ Championnat de France - 1 fois champion : 1963
□ Championnat de France de Pro D2 - 1 fois champion : 2002
□ Challenge Yves du Manoir ( ancienne coupe de France ) - 3 fois vainqueur : 1960, 1961 et 1962.
FORUM DU BLOG : http://forum.marine-et-jaune.xooit.fr/index.php
MARINE ET JAUNE SUR FACEBOOK : http://www.facebook.com/marineet.jaune
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□ D1 ou Ligue1 - 6 fois Champion : 1950, 1984, 1985, 1987, 1999, 2009
□ D2 - 1 fois Champion : 1992.
□ Coupe de France - 4 fois vainqueur : 1941, 1986, 1987, 2013
□ Coupe de la Ligue - 3 fois vainqueur : 2002, 2007, 2009
□ Trophée des champions - 2 fois vainqueur : 2008, 2009
Palmarès SMR :
□ Championnat de France - 1 fois champion : 1963
□ Championnat de France de Pro D2 - 1 fois champion : 2002
□ Challenge Yves du Manoir ( ancienne coupe de France ) - 3 fois vainqueur : 1960, 1961 et 1962.
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jeudi 31 décembre 2015
Angers - Bordeaux : Le résumé en images
Résumé en images de la rencontre entre Angers et Bordeaux.
Source : dialymotion.com
18ème Journée : Angers 1 - 1 Girondins de Bordeaux
Les Girondins ont accroché la match nul chez le deuxième mais auraient pu espérer mieux...........
Malgré l'ouverture du score en première mi-temps par Rolan (40'), les Girondins ont plié en seconde période sur un corner repris par Thomas (83').
Ayant trop reculé, les Girondins n'ont pas su tenir cette victoire qui leur tendait les bras.
Dommage, car ils avaient presque fait ce qu'il fallait pour arracher les trois points de la victoire à l'extérieur.
Face à Angers, deuxième du championnat, Bordeaux a su faire mentir le classement du championnat qui dénote un niveau assez préoccupant.
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Le compteur restera
donc bloqué pendant au moins une semaine à 999. Les Bordelais ont
pourtant longtemps cru décrocher leur 1000e victoire en Ligue 1, hier
dans la froidure d'Angers, le premier en déplacement depuis le 7 mars
dernier à Caen (2-1). La série de matches sans succès à l'extérieur (7
nuls, 6 défaites) court toujours. Hier, le Bordeaux de Sagnol a dépassé
celui de Gillot dans ce classement particulier (1). Il ne faut pas
chercher ailleurs ses difficultés à se dégager de la zone rouge.
Avec toujours trois points d'avance sur le premier relégable (Bastia),
les Girondins restent sous pression. De quoi leur faire encore plus
regretter de n'avoir pas su garder jusqu'au bout l'avantage du but de
Diego Rolan qui retrouve peu à peu son niveau de l'an dernier (lire en
page suivante).
Avec ce résultat mi figue mi raisin, malgré tout conforme à l'équilibre des forces d'hier, Bordeaux peut donc se préparer à une nouvelle et dernière semaine de l'année sous pression. Contre Monaco mercredi (17 h) en Coupe de la Ligue, et contre Marseille dimanche (21 heures).
Hier à Angers, le plan mis en place par l'entraîneur bordelais a failli réussir parfaitement. Pour résumer : former deux lignes bien serrées devant Cédric Carrasso, en imprimant un faux rythme à cette rencontre et en prenant bien garde de ne pas ouvrir la porte aux contres angevins. « L'option choisie était de laisser le ballon aux deux défenseurs centraux d'Angers et à Saïss pour former un bloc solide », confirmait Sagnol. « Ils nous ont fait ce qu'on fait souvent à nos adversaires à l'extérieur », souriait Stéphane Moulin, l'entraîneur du SCO.
Avec l'ouverture du score de Rolan, le coup était déjà bon à la pause. Il aurait pu être meilleur si Enzo Crivelli avait joué son face à face avec Butelle jusqu'au bout plutôt que jouer le penalty (38e). « On leur a donné une première mi-temps tranquille », regrettait Moulin.
Dans une Ligue 1 aussi homogène et serrée derrière le Paris Saint-Germain, au classement et dans le jeu, il n'en a finalement pas manqué beaucoup à des Girondins, très diminués par les blessures (dix) pour faire tomber le 2e. Dans un sens, c'est encourageant pour eux. Mais, selon un autre point de vue, quand même inquiétant pour le niveau du championnat français…
(1) 8 nuls et 4 défaites entre le 9 février et le 3 novembre 2013. Encore loin du record du club, les 23 matchs entre les 9 décembre 1989 et 16 mars 1991 avec Goethals, Rohr et Gili entraîneurs.
Article : sudouest.fr
Avec ce résultat mi figue mi raisin, malgré tout conforme à l'équilibre des forces d'hier, Bordeaux peut donc se préparer à une nouvelle et dernière semaine de l'année sous pression. Contre Monaco mercredi (17 h) en Coupe de la Ligue, et contre Marseille dimanche (21 heures).
Bordeaux à l'angevine
Le record de 38 ans d'invincibilité contre l'OM sera en jeu. Le match le plus attendu de l'année par les supporters sera l'occasion de confirmer le léger redressement de cette semaine à trois matches sans défaite et d'embellir le bilan de mi-saison que Sagnol défendait hier à Angers. « Même si on a connu un gros passage à vide, nous ne sommes qu'à quatre points du 5e. Notre début de saison n'est pas aussi triste qu'indiqué partout ».Hier à Angers, le plan mis en place par l'entraîneur bordelais a failli réussir parfaitement. Pour résumer : former deux lignes bien serrées devant Cédric Carrasso, en imprimant un faux rythme à cette rencontre et en prenant bien garde de ne pas ouvrir la porte aux contres angevins. « L'option choisie était de laisser le ballon aux deux défenseurs centraux d'Angers et à Saïss pour former un bloc solide », confirmait Sagnol. « Ils nous ont fait ce qu'on fait souvent à nos adversaires à l'extérieur », souriait Stéphane Moulin, l'entraîneur du SCO.
Avec l'ouverture du score de Rolan, le coup était déjà bon à la pause. Il aurait pu être meilleur si Enzo Crivelli avait joué son face à face avec Butelle jusqu'au bout plutôt que jouer le penalty (38e). « On leur a donné une première mi-temps tranquille », regrettait Moulin.
Manque de puissance
Disciplinés tactiquement, vaillants, les Bordelais n'ont pas été déséquilibrés jusqu'au dernier quart d'heure. C'est là que la balance a imperceptiblement basculé du mauvais côté de la force. Comment ? La sortie de Nicolas Maurice-Belay, souffrant toujours des genoux - « il a été au bout de ce qu'il pouvait », dira Sagnol - leur a fait perdre un peu de maîtrise au milieu. Et le changement tactique opéré par Stéphane Moulin (entrée de Capelle et Karanovic à la 60e) a fait peser une pression qu'ils n'ont pas su supporter jusqu'au bout, malgré l'excellent match de Frédéric Guilbert en défense centrale. « Leur jeu direct nous a mis en difficulté et a mis une puissance devant avec laquelle on ne peut pas rivaliser actuellement ».Dans une Ligue 1 aussi homogène et serrée derrière le Paris Saint-Germain, au classement et dans le jeu, il n'en a finalement pas manqué beaucoup à des Girondins, très diminués par les blessures (dix) pour faire tomber le 2e. Dans un sens, c'est encourageant pour eux. Mais, selon un autre point de vue, quand même inquiétant pour le niveau du championnat français…
(1) 8 nuls et 4 défaites entre le 9 février et le 3 novembre 2013. Encore loin du record du club, les 23 matchs entre les 9 décembre 1989 et 16 mars 1991 avec Goethals, Rohr et Gili entraîneurs.
Article : sudouest.fr
Ligue Europa (6è J.) : Girondins de Bordeaux 2 - 2 Rubin Kazan
Bordeaux sort de l'Europe sans avoir démérité...........
Les Bordelais, avec une équipe rajeunie, finit son parcours Européen avec un match nul à domicile face aux Russes du Rubin Kazan.
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Une fois encore, les Girondins se sont fait reprendre, par Ustinov (76e), après avoir pourtant pris l'avantage en remontant un but de Kanunnikov (31e) grâce au jeune Gaëtan Laborde (58e) puis à Diego Rolan (63e). Ils terminent derniers derrière leur adversaire du soir, dans ce groupe B où Liverpool et Sion (0-0) ont empoché les accessits pour les 16es de finale.
Le groupe A a vu l'élimination de deux vieilles gloires du football européen, le Celtic Glasgow, déjà éliminé avant même son nul face à Fenerbahce (1-1), et surtout l'Ajax Amsterdam, qui n'a pu faire mieux que match nul contre le leader du groupe, Molde (1-1). Midjtylland s'est qualifié avec Naples dans le groupe D, grâce à son match nul contre le FC Bruges (1-1).
Source : sudouest.fr
Les Bordelais, avec une équipe rajeunie, finit son parcours Européen avec un match nul à domicile face aux Russes du Rubin Kazan.
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Une fois encore, les Girondins se sont fait reprendre, par Ustinov (76e), après avoir pourtant pris l'avantage en remontant un but de Kanunnikov (31e) grâce au jeune Gaëtan Laborde (58e) puis à Diego Rolan (63e). Ils terminent derniers derrière leur adversaire du soir, dans ce groupe B où Liverpool et Sion (0-0) ont empoché les accessits pour les 16es de finale.
Le groupe A a vu l'élimination de deux vieilles gloires du football européen, le Celtic Glasgow, déjà éliminé avant même son nul face à Fenerbahce (1-1), et surtout l'Ajax Amsterdam, qui n'a pu faire mieux que match nul contre le leader du groupe, Molde (1-1). Midjtylland s'est qualifié avec Naples dans le groupe D, grâce à son match nul contre le FC Bruges (1-1).
Source : sudouest.fr
Carcassonne - Stade Montois : Le résumé en images
Résumé en images de la rencontre entre Carcassonne et le Stade Montois.
Source : dailymotion.com
13ème Journée : Carcassonne 22 - 12 Stade Montois
Le Stade Montois n'arrive toujours pas à s'imposer à l'extérieur et finit l'année par une défaite.......
Après une première mi-temps manquée, encaissant trois essais contre un, les Montois avaient déjà dit "adieu" à la victoire.
Menés alors 22 à 7, le Stade Montois, pouvaient néanmoins penser au bonus défensif.
Commettant trop d'erreur pour y parvenir, les Landais ont quand même marqué un essai à la 73ème minute (Taelega) non transformé.
Même s'il méritait mieux, les Montois ont commis trop d'erreurs encore pour pouvoir ramener quelque chose de l'extérieur.
Espérons que la trêve fasse du bien pour recharger les accus et pour compter une infirmerie moins remplie.....
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Le retour de flamme
n'aura finalement été qu'un feu de paille… On aurait aimé voir dans les
vingt dernières minutes du match face à Tarbes, qui avaient permis aux
Montois d'arracher la victoire vendredi dernier, le vrai lancement de
leur saison. Il a vite fallu déchanter hier à Carcassonne.
Au bout de 18 minutes, les Audois menaient ainsi 15-0, quasiment un
point à la minute donc, et on commençait déjà à parler de bonus offensif
dans les travées du vieux stade Albert-Domec. Le signe que le Stade
Montois ne fait malheureusement plus peur à personne en ce moment.
Sur une pelouse où ils avaient su gagner la saison dernière et en 2011-2012, lors de leurs dernières excursions en phases finales, ils ont concédé une septième défaite consécutive à l'extérieur. Cela commence à faire beaucoup quand on rêve (au moins) de la cinquième place qualificative. Bien sûr, celle-ci, occupée par Perpignan, n'est encore qu'à six points. Mais si le classement n'était pas faussé par la pénalité de 15 points infligée à Tarbes, c'est aussi vers le bas que les Montois devraient regarder…
Trop de lacunes
En tout cas, la 11e place qu'ils occuperont durant toute la trêve reflète finalement assez fidèlement leur première partie de saison. Car si l'engagement des Montois a parfois pu être sujet à caution, rien de tout ça n'est à noter à Carcassonne, où ils ont simplement affiché trop de lacunes, surtout en première période, pour espérer l'emporter.
La liste dans le désordre ? L'absence d'un buteur fiable en toutes circonstances (1 sur 3 pour Saubusse et Russell hier) ; un jeu au pied et des sorties de camp trop moyennes ; et surtout, une défense qui fût le socle du dernier parcours jusqu'en finale mais qui craque aujourd'hui trop facilement, notamment à cause de ses difficultés dans le jeu au sol.
Hier, elle fut ainsi incapable d'endiguer les trois seules vagues d'attaques de l'USC en première période. Le seconde ligne Aliouat marquait d'abord en force, avant que les locaux ne lâchent des trois-quarts parfaitement emmenés par Berchesi. L'ouvreur uruguayen est à l'origine des 2e et 3e essais, avec un service au pied parfait pour Grammatico (12-0, 12e), puis un retour intérieur millimétré pour Lima (22-7, 39e).
Frustrant pour les Montois qui ont pourtant dominé ce premier acte en terme de possession. Capables d'imprimer de longues séquences, ils péchaient malheureusement dans la finition, et il a fallu un cadeau de Bissuel (lancer en touche complètement raté) pour que Caudullo ne marque ce qui fut longtemps les seuls points montois de la soirée.
Pas de nouveau miracle
Car la deuxième période allait se montrer beaucoup plus brouillonne, entre des Landais contraints de défendre après le carton jaune de Bost (56e) et des Audois à la seule recherche du bonus offensif. Une quête qui prenait fin avec l'essai de Taelega à la 73e minute, alors que la mêlée montoise venait de mettre au supplice son adversaire. Car comme vendredi dernier, ce sont bien les partenaires d'un Chedal-Bornu omniprésent qui finissaient le plus fort, sans malheureusement reproduire le miracle tarbais ni même sauver un bonus défensif qui aurait finalement été mérité.
On peut voir dans cette nouvelle fin de match réussie un signe encourageant pour la deuxième partie de saison. Vivement l'année prochaine finalement…
Article : sudouest.fr
Sur une pelouse où ils avaient su gagner la saison dernière et en 2011-2012, lors de leurs dernières excursions en phases finales, ils ont concédé une septième défaite consécutive à l'extérieur. Cela commence à faire beaucoup quand on rêve (au moins) de la cinquième place qualificative. Bien sûr, celle-ci, occupée par Perpignan, n'est encore qu'à six points. Mais si le classement n'était pas faussé par la pénalité de 15 points infligée à Tarbes, c'est aussi vers le bas que les Montois devraient regarder…
Trop de lacunes
En tout cas, la 11e place qu'ils occuperont durant toute la trêve reflète finalement assez fidèlement leur première partie de saison. Car si l'engagement des Montois a parfois pu être sujet à caution, rien de tout ça n'est à noter à Carcassonne, où ils ont simplement affiché trop de lacunes, surtout en première période, pour espérer l'emporter.
La liste dans le désordre ? L'absence d'un buteur fiable en toutes circonstances (1 sur 3 pour Saubusse et Russell hier) ; un jeu au pied et des sorties de camp trop moyennes ; et surtout, une défense qui fût le socle du dernier parcours jusqu'en finale mais qui craque aujourd'hui trop facilement, notamment à cause de ses difficultés dans le jeu au sol.
Hier, elle fut ainsi incapable d'endiguer les trois seules vagues d'attaques de l'USC en première période. Le seconde ligne Aliouat marquait d'abord en force, avant que les locaux ne lâchent des trois-quarts parfaitement emmenés par Berchesi. L'ouvreur uruguayen est à l'origine des 2e et 3e essais, avec un service au pied parfait pour Grammatico (12-0, 12e), puis un retour intérieur millimétré pour Lima (22-7, 39e).
Frustrant pour les Montois qui ont pourtant dominé ce premier acte en terme de possession. Capables d'imprimer de longues séquences, ils péchaient malheureusement dans la finition, et il a fallu un cadeau de Bissuel (lancer en touche complètement raté) pour que Caudullo ne marque ce qui fut longtemps les seuls points montois de la soirée.
Pas de nouveau miracle
Car la deuxième période allait se montrer beaucoup plus brouillonne, entre des Landais contraints de défendre après le carton jaune de Bost (56e) et des Audois à la seule recherche du bonus offensif. Une quête qui prenait fin avec l'essai de Taelega à la 73e minute, alors que la mêlée montoise venait de mettre au supplice son adversaire. Car comme vendredi dernier, ce sont bien les partenaires d'un Chedal-Bornu omniprésent qui finissaient le plus fort, sans malheureusement reproduire le miracle tarbais ni même sauver un bonus défensif qui aurait finalement été mérité.
On peut voir dans cette nouvelle fin de match réussie un signe encourageant pour la deuxième partie de saison. Vivement l'année prochaine finalement…
Article : sudouest.fr
Stade Montois - Tarbes : Le résumé en images
Résumé en images de la rencontre entre le Stade Montois et Tarbes.
Sources : dailymotion.com
12ème Journée : Stade Montois 21 - 19 Tarbes
Le Stade Montois sort miraculeusement victorieux de cette confrontation face au voisin Pyrénéen......
Nous ne retiendrons que les 4 points de la victoire.
Les Montois n'ont pas mérité de l'emporter, ne dominant leur adversaire Pyrénéen que dans les dix dernières minutes du match.
Cependant, les Montois, n'ont jamais baissé les bras et malgré un public déçu par leur prestation, ils ont su redresser la barre pour gagner.
Le Stade Montois vit actuellement un moment difficile sportivement.
Espérons une réaction lors des prochaines rencontres qui vont vite nous emmener en Janvier 2016.
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Le retour en Bigorre a
dû paraître bien long à des Tarbais qui ne sont décidément pas gâtés
par le sort ces derniers temps. Déjà relégués en Fédérale 1 par la
DNACG, ils ont été battus dans les tout derniers instants à Boniface,
comme ils l'avaient été par Albi à domicile il y a une semaine.
Une véritable série noire que les Montois, qui restaient sur trois
défaites en quatre matchs, ont évité de très peu. Ils doivent ce matin
une fière chandelle à leur mêlée, en difficulté depuis plusieurs
semaines et qui leur a offert la victoire hier, grâce à un essai de
pénalité à quelques secondes du coup de sifflet final. C'est d'ailleurs
la seule fois de la soirée où les Montois ont mené au score. Après
l'humiliation à Biarritz vendredi dernier (44-8), on a ainsi longtemps
cru qu'ils avaient touché le fond face à une épatante formation
tarbaise. Alors que les dirigeants et le staff montois avaient usé du
bâton cette semaine pour réveiller leurs troupes, il apparaît désormais
évident qu'ils vont plutôt devoir se pencher au chevet de joueurs en
totale perte de confiance et qui doivent être aidés.
A l'orgueil
Car avant un dernier quart d'heure à l'orgueil qui leur a permis de renverser la tendance (de 9-19 à 21-19), ils ont longtemps étalé toutes leurs lacunes et leurs souffrances. Et si on attendait un vent de révolte après le non-match à Biarritz, ce n'est d'abord qu'une petite brise de mer que les partenaires de Julien Tastet ont été en mesure de proposer. Comme un symbole, c'est le buteur tarbais Laharrague qui lançait les débats. Saubusse égalisait dans la foulée (3-3, 6e) pour initier une bonne période montoise qui n'allait cependant pas se traduire en points. Par deux fois, les jaune et noir choisissaient la pénaltouche sans trouver la faille dans la très dense défense adverse. Un manque de concrétisation qui allait coûter cher.
Car de l'autre côté du terrain, les Bigourdans allaient se montrer d'un réalisme aussi froid que l'atmosphère d'hier soir. Après une chandelle cafouillée par l'arrière-garde montoise, le troisième ligne Garrault pointait ainsi un premier essai en coin (3-8, 20e). Le début de minutes délicates pour les Montois, dominés par un adversaire sans complexe, plus puissant pour prendre l'axe et intelligent dans sans gestion au pied. Et c'est presque logiquement que l'ailier Cocagi doublait la mise (3-13,32e).
La mêlée en action
Sonnés, comme paralysés par l'enjeu, les Montois se montraient incapables de réagir, plombés par un déficit de puissance criant devant et des attaques trop lisibles derrière. Heureusement, la mêlée entrait en action. Elle offrait une munition précieuse à Saubusse, qui ramenait son équipe à 6-13 (32e). Sous les sifflets du maigre public de Boniface (moins de 4000 personnes), les Montois regagnaient les vestiaires avec un retard acceptable de sept points, grâce au coup de pouce d'un Laharrague maladroit face aux perches (sept points oubliés).
C'est d'ailleurs le demi de mêlée Roussarie qui prenait le relais dès la reprise pour plonger un peu plus les Montois dans le doute : 6-16, puis 6-19 (52e). Face à des Tarbais toujours impeccables dans l'occupation, les hommes de Christophe Laussucq semblaient sans solution. Celle-ci est donc finalement venue de leur mêlée, à l'origine des deux essais, dans un dernier quart d'heure qui va considérablement changer le cours de leur saison. L'essentiel est assuré, mais quelle frayeur…
Article : sudouest.fr
A l'orgueil
Car avant un dernier quart d'heure à l'orgueil qui leur a permis de renverser la tendance (de 9-19 à 21-19), ils ont longtemps étalé toutes leurs lacunes et leurs souffrances. Et si on attendait un vent de révolte après le non-match à Biarritz, ce n'est d'abord qu'une petite brise de mer que les partenaires de Julien Tastet ont été en mesure de proposer. Comme un symbole, c'est le buteur tarbais Laharrague qui lançait les débats. Saubusse égalisait dans la foulée (3-3, 6e) pour initier une bonne période montoise qui n'allait cependant pas se traduire en points. Par deux fois, les jaune et noir choisissaient la pénaltouche sans trouver la faille dans la très dense défense adverse. Un manque de concrétisation qui allait coûter cher.
Car de l'autre côté du terrain, les Bigourdans allaient se montrer d'un réalisme aussi froid que l'atmosphère d'hier soir. Après une chandelle cafouillée par l'arrière-garde montoise, le troisième ligne Garrault pointait ainsi un premier essai en coin (3-8, 20e). Le début de minutes délicates pour les Montois, dominés par un adversaire sans complexe, plus puissant pour prendre l'axe et intelligent dans sans gestion au pied. Et c'est presque logiquement que l'ailier Cocagi doublait la mise (3-13,32e).
La mêlée en action
Sonnés, comme paralysés par l'enjeu, les Montois se montraient incapables de réagir, plombés par un déficit de puissance criant devant et des attaques trop lisibles derrière. Heureusement, la mêlée entrait en action. Elle offrait une munition précieuse à Saubusse, qui ramenait son équipe à 6-13 (32e). Sous les sifflets du maigre public de Boniface (moins de 4000 personnes), les Montois regagnaient les vestiaires avec un retard acceptable de sept points, grâce au coup de pouce d'un Laharrague maladroit face aux perches (sept points oubliés).
C'est d'ailleurs le demi de mêlée Roussarie qui prenait le relais dès la reprise pour plonger un peu plus les Montois dans le doute : 6-16, puis 6-19 (52e). Face à des Tarbais toujours impeccables dans l'occupation, les hommes de Christophe Laussucq semblaient sans solution. Celle-ci est donc finalement venue de leur mêlée, à l'origine des deux essais, dans un dernier quart d'heure qui va considérablement changer le cours de leur saison. L'essentiel est assuré, mais quelle frayeur…
Article : sudouest.fr
mardi 8 décembre 2015
lundi 7 décembre 2015
Bordeaux - Guingamp : Le résumé en images
Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Guingamp.
Source : youtube.com
17ème Journée : Girondins de Bordeaux 1 - 0 Guingamp
Sans convaincre, Bordeaux arrache une victoire importante face à un concurrent direct, Guingamp.......
Dans un match insipide, synonyme de peur, les Bordelais l'ont emporté sur un corner et un coup de tête de Yambéré.
Jouant avec la peur au ventre, et faisant encore preuve d'une extrême fragilité, Bordeaux s'est sorti d'un guêpier presque par miracle.
Le niveau de jeu est encore très faible et malgré un bon au classement, grâce aux différents résultats (de la 17ème à la 12ème place), les Girondins sont encore malades.
Le match face à Angers, dimanche prochain, qui est dauphin de cette Ligue1, s'annonce déjà comme un test pour des Girondins encore fébriles......
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Dans un contexte de grève de ses Ultras, Bordeaux retrouve le chemin de la victoire grâce à un but de Cédric Yambéré (1-0). Pour le beau jeu, il faudra repasser.
Les Girondins de Bordeaux n'ont pas réalisé le match du siècle. Mais ils ont enfin interrompu la mauvaise série dans laquelle ils s'étaient embarqués. Vainqueurs de Guingamp (1-0), les hommes de Willy Sagnol se sont rassurés sur le plan comptable (ils sont désormais 12es), à défaut de retrouver un jeu digne de ce nom.
Le résumé du match
Une première banderole implore : "Soyez enfin dignes de l'institution FCGB", une autre explique : "Joueurs sans fierté, virage Sud déserté". Pour la première fois de sa jeune histoire, le stade Matmut Atlantique est vide dans sa partie Sud, en bas du virage. Là où, habituellement, les Ultramarines donnent le "la" de l'ambiance.C'est donc dans un silence glaçant, agrémenté de quelques sifflets, que les deux équipes entrent sur la pelouse.
À l'image d'un joli débordement d'Ounas côté droit (5e), les Girondins montrent qu'ils sont plein d'évidentes bonnes intentions, mais ils ne se créent pas de véritables occasions. Et on se dit que rien n'a véritablement changé dans cette équipe malgré l'état d'urgence.
Il y a bien quelques jolis gestes techniques de Khazri ou d'Ounas, mais c'est sous de nouveaux sifflets que Bordeaux et Guingamp rejoignent les vestiaires à la mi-temps.
Les chants du public ne reprennent évidemment pas au retour des joueurs. D'ailleurs, histoire de plomber un peu plus l'atmosphère, Pablo se blesse aussitôt aux adducteurs et doit céder sa place. Poko entre en jeu et Guilbert passe en défense centrale, un secteur décidément maudit chez les Girondins.
Il faut attendre l'heure de jeu pour assister à la première frappe cadrée de la rencontre, signée Ounas, dont la frappe aussi soudaine que puissante à l'entrée de la surface de réparation est repoussée avec difficulté par Lossl.
Cela redonne à la fois de la voix aux Ultras et des ailes aux Girondins. Khazri caresse un bijou de corner pour trouver la tête de Yambéré, qui ouvre le score (1-0, 63e).
Les Guingampais ne se désunissent pas pour autant et, sur une mésentente entre Carrasso et Yambéré, Bénézet trouve le poteau droit (74e).
Dans le dur, au bord de la rupture, les Bordelais subissent en fin de match. M. Turpin aurait même pu siffler un penalty pour une faute de Contento sur De Pauw (89e), avant six minutes d'arrêts de jeu particulièrement pénibles. Au moins les Girondins ont tenu bon.
Un homme dans le match
S'il n'en reste qu'un, c'est bien lui. Cédric Yambéré n'est pas le défenseur central de métier le plus connu de l'effectif des Girondins. Mais il est le dernier encore valide. En l'absence de Sané et de Pallois, mais aussi de Sertic et Chantôme capables de tenir le poste, Yambéré était évidemment titulaire aux côtés de Pablo. Mais le Brésilien s'est blessé à son tour dès le début de la seconde mi-temps.Dès lors associé à Guilbert dans l'axe. Yambéré a échappé à la malédiction en tenant bien son poste, tout en marquant le seul but de la rencontre sur un corner de Khazri.
Article : sudouest.fr
samedi 5 décembre 2015
Biarritz - Stade Montois : Le résumé en images
Source : dailymotion.com
11ème Journée : Biarritz 44 - 8 Stade Montois
Les Montois ont été vite dépassés et plus inquiétant, ont vite baissé pavillon face à Biarritz........
Pour qu'il y ait un match, il faut être deux, et les Montois ont été absents des débats, alors seul le score suffit pour en parler......
C'est dans l'attitude que les Montois ont pêché.
Menés, ils ont de suite baissé les bras et les Biarrots, qui n'en demandaient pas tant ont marqué la bagatelle de 5 essais, bien aidés par une défense "portes ouvertes".....
Sans gnac, sans envie, les Landais ne pouvaient espérer mieux.....
Au delà de cette défaite, c'est justement le fait que les joueurs ne donnent pas tout, ne mouillent pas le maillot, qui pose question......
Espérons simplement qu'ils ne trichent pas, car ils n'ont pas le droit, avec une équipe qui, on le sait a des qualités, de se comporter de la sorte....
Ne serait-ce que par respect pour leur public, qui ne les ont jamais lâchés.....
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Et
ce matin, Biarritz et Mont-de-Marsan possèdent donc le même bilan, du
moins en termes de victoires (4)… Le BO, moribond et bonnet d'âne de la
Pro D2 il y a quelques semaines, en a remporté une troisième de rang
hier soir, pour se caler tranquillement dans le ventre mou, où il
pourrait d'ailleurs ne pas rester bien longtemps…
Deux trajectoires se sont croisées à Aguilera et la collision a fait une
victime : le Stade Montois, KO debout après cet échec aux proportions
insoupçonnées. Que les hommes de Christophe Laussucq s'inclinent une
nouvelle fois à l'extérieur, où ils n'ont pas gagné cette saison, n'est
pas forcément une surprise.
Ce qui l'est, c'est le visage qu'ils ont affiché hier. Celui d'une équipe à bout de souffle, battue dans tous les duels, privée de ballons et incapable de réagir au moindre vent contraire.
Trois essais en dix minutes
Symbole de cette déliquescence, les trois essais encaissés en dix minutes à l'entame de la seconde période. Sur le premier, Hamdaoui s'infiltre entre deux plots pour marquer sous les poteaux, puis Otazo se fait intercepter pour un essai de 70 m, avant le bouquet final : Ngwenya esseulé sur son aile qui échappe à quatre Montois pour s'offrir un doublé. Un naufrage. Au cours duquel la défense montoise, la troisième meilleure de Pro D2 avant le match d'hier n'a même pas pu servir de refuge.
Les Montois ne sont finalement restés au contact des Basques que l'espace d'une mi-temps. Et encore…
Dès la deuxième minute, Le Bouhris claquait un drop alors que les partenaires de Chedal-Bornu n'avaient pas encore touché le ballon. Maxime Lucu ajoutait une autre pénalité, avant que Saubusse ne réduise l'écart (6-3, 13e). On ne le savait pas encore, mais il faudra attendre quasiment la dernière minute et une action aussi belle qu'inutile conclue par Ximun Lucu pour que le compteur jaune et noir n'évolue.
Des valeurs envolées
Entre les deux ? Une longue traversée du désert pour des Montois sonnés par l'essai d'Ngwenya juste avant la pause (16-3, 35e), puis achevés par leur début de seconde période. On passera sur le dernier essai de Ruffenach pour ne retenir que le résultat : 44-8, sûrement la plus lourde défaite depuis le retour en Pro D2 il y a deux ans. Lourd mais logique, quand on est autant privé de munitions derrière une mêlée méconnaissable et aussi passif en défense. « Ca fait très mal à la tête, on est complètement passés à côté, résume Vickus Liebenberg. On était venus avec l'envie de faire un coup ici, ou au moins montrer un joli visage, et là c'est un peu honteux ce qu'on vient de faire. »
Alors bien sûr, ce n'est pas encore l'état d'urgence au classement pour les Montois, toujours provisoirement à cinq points du cinquième et dernier qualifiable. Mais rêver d'une demi-finale après une telle performance n'est qu'une illusion. La priorité sera déjà de relever la tête contre Tarbes vendredi…
« J'espère que le ridicule que l'on a ressenti aujourd'hui va les marquer (les joueurs, NDLR), grince Christophe Laussucq. Et si ça ne les marque pas on ne jouera pas avec ces mecs-là, parce que moi j'ai eu honte, j'ai cru qu'on allait en prendre 50 ou 60. J'espère qu'on va réagir et montrer des valeurs qu'aujourd'hui on n'a plus. »
Article : sudouest.fr
Ce qui l'est, c'est le visage qu'ils ont affiché hier. Celui d'une équipe à bout de souffle, battue dans tous les duels, privée de ballons et incapable de réagir au moindre vent contraire.
Trois essais en dix minutes
Symbole de cette déliquescence, les trois essais encaissés en dix minutes à l'entame de la seconde période. Sur le premier, Hamdaoui s'infiltre entre deux plots pour marquer sous les poteaux, puis Otazo se fait intercepter pour un essai de 70 m, avant le bouquet final : Ngwenya esseulé sur son aile qui échappe à quatre Montois pour s'offrir un doublé. Un naufrage. Au cours duquel la défense montoise, la troisième meilleure de Pro D2 avant le match d'hier n'a même pas pu servir de refuge.
Les Montois ne sont finalement restés au contact des Basques que l'espace d'une mi-temps. Et encore…
Dès la deuxième minute, Le Bouhris claquait un drop alors que les partenaires de Chedal-Bornu n'avaient pas encore touché le ballon. Maxime Lucu ajoutait une autre pénalité, avant que Saubusse ne réduise l'écart (6-3, 13e). On ne le savait pas encore, mais il faudra attendre quasiment la dernière minute et une action aussi belle qu'inutile conclue par Ximun Lucu pour que le compteur jaune et noir n'évolue.
Des valeurs envolées
Entre les deux ? Une longue traversée du désert pour des Montois sonnés par l'essai d'Ngwenya juste avant la pause (16-3, 35e), puis achevés par leur début de seconde période. On passera sur le dernier essai de Ruffenach pour ne retenir que le résultat : 44-8, sûrement la plus lourde défaite depuis le retour en Pro D2 il y a deux ans. Lourd mais logique, quand on est autant privé de munitions derrière une mêlée méconnaissable et aussi passif en défense. « Ca fait très mal à la tête, on est complètement passés à côté, résume Vickus Liebenberg. On était venus avec l'envie de faire un coup ici, ou au moins montrer un joli visage, et là c'est un peu honteux ce qu'on vient de faire. »
Alors bien sûr, ce n'est pas encore l'état d'urgence au classement pour les Montois, toujours provisoirement à cinq points du cinquième et dernier qualifiable. Mais rêver d'une demi-finale après une telle performance n'est qu'une illusion. La priorité sera déjà de relever la tête contre Tarbes vendredi…
« J'espère que le ridicule que l'on a ressenti aujourd'hui va les marquer (les joueurs, NDLR), grince Christophe Laussucq. Et si ça ne les marque pas on ne jouera pas avec ces mecs-là, parce que moi j'ai eu honte, j'ai cru qu'on allait en prendre 50 ou 60. J'espère qu'on va réagir et montrer des valeurs qu'aujourd'hui on n'a plus. »
Article : sudouest.fr
Bastia - Bordeaux : Le résumé en images
Résumé en images de la rencontre entre Bastia et Bordeaux.
Source : dailymotion.com
16ème Journée : Bastia 1 - 0 Girondins de Bordeaux
Bordeaux sombre encore plus profondément à Bastia après cette défaite qui fait mal......
Bordeaux perd encore mais surtout s'enlise à la 17ème place du classement.
A nouveau un but casquette, pris dans les dernières minutes à cause d'une glissade malencontreuse du jeune Hassani, entré pour la première fois de la saison, à la place de Chantôme.
pas grand chose à dire sur le fait du match.
Concernant le jeu, on sent un Bordeaux très fébrile et en manque de confiance.
S'ajoute à cela les nombreux suspendus ou blessés qui manquent pour aligner une équipe compétitive.
Le match contre Guingamp s'annonce comme étant le tournant de la saison.....
Un défaite, et les Girondins s'enfonceraient dans un crise profonde....
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Bastia a enfoncé un Bordeaux à la dérive (1-0) en s'imposant à deux minutes de la fin, au terme d'un match très pâle, mercredi à Furiani pour la 16e journée de Ligue 1.
Battus pour la troisième fois de la semaine, en comptant Liverpool (2-1), les Girondins occupent la dernière place avant la relégation (17e). Bastia sort un peu la tête de l'eau mais ne devance son voisin qu'à la différence de but.
Ce match poussif semblait déboucher sur un match nul et vierge, mais l'attaquant Florian Raspentino a profité d'un ballon mal dégagé par la défense bordelaise pour marquer des dix-huit mètres dans un but vide (88).
Pourtant Bordeaux, le cuir encore rougi du naufrage à domicile contre Caen (4-1), avait légèrement mieux commencé ce duel d'imprécisions dans la transmission de balle. Les Girondins prenaient par la suite de plus en plus l'ascendant dans ce match face à des Corses très fébriles, sans pour autant se procurer de vraies occasions faute de tranchant et de vivacité.
Côté bastiais, le nombre important de ballons perdus empêchait toute offensive sérieuse d'être construite. Après une première période d'un intérêt tout relatif, la seconde voyait des Bastiais plus en jambes, plus inspirés dans le jeu, et commençant à porter le danger de façon prégnante sur le but girondin.
Les Bordelais tenaient toutefois bien le choc. Toutefois, le peu de fond de jeu retrouvé par les Corses s'est de nouveau liquéfié après l'heure de jeu, le public bastiais réservant même une vigoureuse bronca à un Brandao inefficace à sa sortie (67).
Son remplaçant, Raspentino, a sorti le Sporting de la zone de relégation.
Artcile : sudouest.fr
mardi 1 décembre 2015
Après-match : Bordeaux - Caen
Conférence de presse après la rencontre entre Bordeaux et Caen.
Source : dailymotion.com
Bordeaux - Caen : Le résumé en images
Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Caen.
Source : youtube.com
15ème Journée : Girondins de Bordeaux 1 - 4 Caen
Carrasso n'a pas été en verve et a plutôt été mal inspiré, en "offrant" deux buts aux Caennais..............
Ne blâmons pas Carrasso, qui, à l'image de son équipe a manqué de chance et d'abnégation lors de cette rencontre.
Deux ballons repoussés par Carrasso, directement dans les pieds de deux Caennais; un coup franc repris de la tête par un joueur Normand, qui tape la tranversale, touche légèrement Contento et qui butte sur le dos de Carrasso, pour finir sa course dans les buts; et enfin, ce tir de l'attaquant Delort, qui se relève, après avoir été bousculé par Maurice-Belay, et qui frappe instinctivement, contré par les jambes de ce dernier et trompant Carrasso, déjà à terre.....
Tout cela pour dire que les Bordelais ont été absents dans la surface de réparation.
Et le but anecdotique en fin de rencontre, à dix contre onze, de Crivelli sur une jolie passe de Maurice-Belay n'y fera rien, tant l'équipe a été décevante.....
La défense, encore apathique et immobile est en cause encore une fois.
Elle a laissé Carrasso seul, comme étant le dernier rempart de la maison Girondine.
Trop pour un seul homme, qui n'est pas assez suppléé par ses défenseurs.....
La paire Sané, Yambéré est un fiasco et les blessures de Pablo conjuguée à la suspension de Pallois n'aident pas à avoir de bons espoirs pour la suite.
Il faut du changement, et vite....
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Après l'élimination en Ligue Europa, le naufrage en Ligue 1. Dominés tactiquement et physiquement, battus dans les duels, maladroits et victimes des choix désastreux de Willy Sagnol, les Girondins de Bordeaux ont coulé face au Stade Malherbe de Caen au stade Matmut Atlantique (1-4).
Par son ampleur et la physionomie de la rencontre, cette défaite-là risque de laisser des traces.
Le résumé du match
Les Bordelais jouent très haut dans le camp caennais, mais sur leur premier ballon perdu, les Normands lancent une terrible contre-attaque qui déstabilise la défense girondine. Celle-ci s'en sort bien en concédant le corner. Sauf que le Stade Malherbe en profite pour ouvrir le score. Le ballon frappé par Bessat est repoussé des deux poings par Carrasso et revient sur l'ancien Nantais qui centre au point de penalty. Au deuxième poteau, Rodelin reprend instantanément d'une volée acrobatique. Carrasso repousse encore, mais dans les pieds de Ben Youssef qui conclut dans le but vide (0-1, 6e).La partie est rythmée mais, il faut bien le reconnaître, les Caennais jouent plus juste, notamment sur des contres foudroyants qui obligent Carrasso à réaliser des prouesses. Alors Willy Sagnol ne fait pas de sentiment. Exit Frédéric Guilbert, titularisé au poste d'arrière droit, entrée en jeu de Diego Rolan après seulement 25 minutes de jeu.
Les Girondins ne deviennent pas meilleurs pour autant, même si Diabaté parvient à marquer après une jolie talonnade de Maurice-Belay. Le Malien était hélas hors-jeu (37e).
A la reprise, ce n'est pas mieux. Il faut même une nouvelle parade de Carrasso pour détourner une puissante frappe croisée de Rodelin (50e). Les Girondins sont au bord du KO.
Alors qu'il vient de mettre Vercoutre en difficulté, Khazri, le Bordelais le plus technique, est curieusement remplacé à la 53e minute. Crivelli lui succède et... Caen double la mise aussitôt. Da Silva est seul dans la surface à la réception d'un ballon dévié par Carrasso après un coup franc de Delort. Comme un remake du premier but (0-2, 57e).
Alors Bordeaux coule. Sur un nouveau corner de Bessat, Da Silva (défenseur central, on vous rappelle) échappe au marquage de Chantôme et place une tête puissante. Sur sa ligne, Contento repousse de la tête sur la transversale et le ballon retombe sur Carrasso, battu (0-3, 61e).
Chaque action normande est alors accompagnée de "Olé" lancés des tribunes d'un Matmut Atlantique à moitié vide (18 000 spectateurs). Et sur une énième contre-attaque, Malherbe enfonce le clou. L'excellent Andy Delort remonte 80 mètres tout seul, résiste aux retours des défenseurs bordelais, tombe dans la surface, se relève et ajuste Carrasso. Splendide ! (0-4, 77e).
André Poko est expulsé dans un silence de cathédrale. Le public prend alors ses cliques et ses claques. Dix minutes avant le coup de sifflet final, le virage Sud se vide. Les Ultramarines ne verront pas Crivelli sauver l'honneur (1-4, 90e).
Le fait du match
Depuis cinq minutes déjà, Diego Rolan est en train de s'échauffer. On sent que Willy Sagnol va prendre une décision énergique. On joue la 25e minute et la sanction tombe : Frédéric Guilbert, coupable d'une passe hasardeuse vers Carrasso quelques instants auparavant, est prié de rejoindre le banc de touche. Ce remplacement est extrêmement sévère pour le jeune défenseur formé... à Caen. En septembre, Milan Gajic avait subi le même sort face à Lyon. Le Serbe de 19 ans ne s'en est toujours pas remis.Au moins, Guilbert n'est pour rien dans les trois buts encaissés par Bordeaux en deuxième mi-temps...
L'interview de Willy Sagnol
Loin d'accabler ses joueurs, qu'il juge fatigués par les efforts fournis en Ligue Europa, l'entraîneur se met "dans le même sac qu'eux" en espérant que son équipe saura "faire le dos rond" jusqu'à la trêve hivernale. Interview à lire ici.Article : sudouest.fr
Bourgoin - Stade Montois : Le résumé en images
Résumé en images de la rencontre entre Bourgoin et Mont-de-Marsan.
Source : youtube.com
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