Nouvelle prestation indigente des Montois, menés 42 à 0 à la 75e minute
de jeu, dimanche après-midi. La réaction de fin de match ne fait guère
illusion (42-12 au final)
Les Montois glissent dangereusement vers le fond du classement. (Photo archives Loïc Dequier)
Celle-là, elle fait mal. Le Stade Montois s’est pris les pieds dans le tapis cantalien,
dimanche, au point de plonger la tête la première vers une sévère
correction que sa fin de match ne parvient même pas à rendre moins
morose. Les Landais ont notamment concédé cinq essais et seulement répondu par deux réalisations très tardives après avoir reçu une leçon d’efficacité et de défense aussi.
Car les hommes de Laussucq ont disposé des munitions pour s’éviter une telle issue. Mais soit ils sont tombés sur une défense cantalienne longtemps irréprochable, soit ils se sont montrés incapables d’assurer une bonne conservation du ballon. Un peu perdus sur leurs lancements, ils ont rendu trop de ballons pour pouvoir espérer mieux. Les Cantaliens, eux, n’ont pas lésiné sur les moyens pour se remettre la tête à l’endroit et enfoncer un peu plus celle des Landais dans le gouffre de leurs absences. Des Cantaliens prompts au démarrage, impressionnants pour concrétiser leurs temps forts. Les hommes de Jérémy Davidson et Thierry Peuchlestrade savaient où ils voulaient aller et comment y aller.
Les Montois ont payé pour le savoir en baissant pavillon dans une épreuve de force longtemps à sens unique, à l’image d’une défense qui aura étouffé les tentatives montoises dans un combat remporté haut la main.
En à peine plus d’un quart d’heure, les coéquipiers de Kemp avaient virtuellement le bonus offensif en poche après les essais de Mc Phee (24e seconde), Petitjean et Valentin (22-0).
Situation bien compromise
Après deux pénalités de l’ouvreur local (28-0) durant le carton jaune de Leota, le début du second acte n’aura pas permis aux visiteurs de rétablir une situation déjà bien compromise. Ils ont pourtant évolué à deux de plus durant sept minutes, après les cartons de Brady (43e) et Tokotuu (47e), mais sans jamais réussir à marquer.
Et dès que les Landais ont repris la pression des Cantaliens, ils ont à nouveau cédé comme sur ce lancer en touche perdu à 5 mètres de l’en but et converti en essai par Brady (59e), avant de concéder un essai de pénalité après une mêlée montoise finissant sur le toit (42-0, à la 72e).
À huit minutes du terminus, le degré de vigilance des locaux a sûrement baissé, tout comme les repères collectifs d’un fond de terrain totalement remodelé par les blessures.
Faut-il y voir une relation de cause à effet, mais les cinq dernières minutes auront été landaises. Leota (75e) puis Jagr (78e) ont enfin trouvé la faille pour une vaine réduction de l’écart (42-12).
Car les hommes de Laussucq ont disposé des munitions pour s’éviter une telle issue. Mais soit ils sont tombés sur une défense cantalienne longtemps irréprochable, soit ils se sont montrés incapables d’assurer une bonne conservation du ballon. Un peu perdus sur leurs lancements, ils ont rendu trop de ballons pour pouvoir espérer mieux. Les Cantaliens, eux, n’ont pas lésiné sur les moyens pour se remettre la tête à l’endroit et enfoncer un peu plus celle des Landais dans le gouffre de leurs absences. Des Cantaliens prompts au démarrage, impressionnants pour concrétiser leurs temps forts. Les hommes de Jérémy Davidson et Thierry Peuchlestrade savaient où ils voulaient aller et comment y aller.
Les Montois ont payé pour le savoir en baissant pavillon dans une épreuve de force longtemps à sens unique, à l’image d’une défense qui aura étouffé les tentatives montoises dans un combat remporté haut la main.
En à peine plus d’un quart d’heure, les coéquipiers de Kemp avaient virtuellement le bonus offensif en poche après les essais de Mc Phee (24e seconde), Petitjean et Valentin (22-0).
Situation bien compromise
Après deux pénalités de l’ouvreur local (28-0) durant le carton jaune de Leota, le début du second acte n’aura pas permis aux visiteurs de rétablir une situation déjà bien compromise. Ils ont pourtant évolué à deux de plus durant sept minutes, après les cartons de Brady (43e) et Tokotuu (47e), mais sans jamais réussir à marquer.
Et dès que les Landais ont repris la pression des Cantaliens, ils ont à nouveau cédé comme sur ce lancer en touche perdu à 5 mètres de l’en but et converti en essai par Brady (59e), avant de concéder un essai de pénalité après une mêlée montoise finissant sur le toit (42-0, à la 72e).
À huit minutes du terminus, le degré de vigilance des locaux a sûrement baissé, tout comme les repères collectifs d’un fond de terrain totalement remodelé par les blessures.
Faut-il y voir une relation de cause à effet, mais les cinq dernières minutes auront été landaises. Leota (75e) puis Jagr (78e) ont enfin trouvé la faille pour une vaine réduction de l’écart (42-12).
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