Le Stade Montois, devant son public, n'a pas pu faire la différence.....
Nul(s) !!!!!!!!!!
Ce qualificatif a évidemment un double sens !!!!!!!
Nul comme l'issue de ce match et nul aussi, comme la prestation médiocre des Montois, hier soir.
Depuis le début de saison, le Stade Montois n'a pas le niveau escompté pour atteindre l’objectif qui a été fixé.
Il faut revoir les ambitions bien à la baisse car les deux derniers matches auraient dû se solder par deux victoires.
A défaut de huit points, les Landais n'en ont glané que quatre !!!!!
Autant dire, que cela équivaut à une défaite et une victoire sans aucun bonus face à deux équipes jugées moyennes de ce championnat de Pro D2.
Mont de Marsan a donc un niveau d'une équipe moyenne voire même moyen-faible.
On ne voit pas comment cette équipe pourrait s'imposer à l'extérieur cette saison car elle manque trop de maitrise pour pouvoir imposer son rugby.
Peu de points de satisfaction hier soir, à part, une fois n'est pas coutume, la mêlée !!!!! Tiens donc ?
Pour le reste, encore trop de fautes, de ballons perdus et d'approximations pour décrocher une équipe de Béziers qui a toujours été à la limite mais assez combattive pour rester toujours aux basques des Montois.
On attend toujours ce projet de jeu que les spectateurs ne sont pas encore parvenus à décrypter !!!!!
Le projet est simple.
Plus de vaillance, de discipline, de choses simples et surtout, retrouver le plaisir de jouer au rugby !!!!!
Car, en ce moment, vu de l'extérieur, nous avons l'impression que ce plaisir a disparu......
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Guy-Boniface a beau être fou d’amour pour les siens, sa patience connaît
des limites. Fait assez rare pour qu’il soit noté, samedi soir, un
petit vent de colère a fait irruption dans les travées du stade des
jaune et noir. Rien de trop méchant évidemment, mais bien, ici et là, la
marque d’un agacement, d’une incompréhension. Pourquoi les Montois
n’arrivent-ils pas à imposer leur loi à leurs adversaires cette saison
alors qu’ils ont tout pour y parvenir ?
Un sentiment de frustration renforcé par une rengaine lancinante. Celle d’une formation qui perd, comme à Bourg-en-Bresse, deux points dans les tout derniers instants de la rencontre alors que la victoire était à portée de main. Celle d’un groupe qui n’est plus maître dans sa propre demeure, également.
1 De l’envie mais pas de confiance
Crise de nerfs dans les tribunes, crise de confiance sur le terrain. L’indiscipline, récurrente depuis le début de saison, n’est en effet pas la seule responsable des difficultés montoises. Le Stade est dans le doute. Preuve que les plaies de la saison dernière ne sont sans doute pas encore guéries. Contre Béziers pourtant, l’envie était là, comme en témoigne la partie réalisée par les avants landais - pourtant souvent critiqués cette saison - dans le sillage d’un Haisini Taulanga indispensable.
Derrière en revanche, difficile de retenir autre chose de cette rencontre que la latéralité du jeu et l’incapacité montoise à avancer face à une défense biterroise jamais véritablement inquiétée. Le tout pour un « constat d’impuissance », comme le reconnaît Julien Cabannes, visiblement touché par cette contre-performance, à l’image de tout un club. « On n’a pas su transformer le jeu. On a un problème de liant entre les avants et les trois-quarts. On ne sait vraiment pas l’expliquer. On est rentré sur le terrain très motivé pourtant. On voulait vraiment finir ce bloc sur une bonne note. Malheureusement, on n’a pas pu offrir cela à nos supporteurs. » Une intense déception qui ne va pas contribuer à soigner les têtes. Seule une série de succès le peut.
2 Un problème d’intensité
Si Scott Murray stigmatisait, lui aussi, le manque de confiance et de chance des siens, il pointait également l’intensité insuffisante proposée par ses protégés. « Dans les dernières minutes (de la 70e à la 75e, NDLR), on a réussi à faire 11 ou 12 phases de jeu (qui ont amené la dernière pénalité de Dut, portant la marque à 11-8). C’est comme ça qu’on doit jouer tout le match. On a bien commencé, mais après dix minutes, on a l’impression qu’on s’est dit que c’était terminé… C’est 80 minutes qu’il faut disputer ainsi. » Le schéma avait d’ailleurs déjà été entrevu plusieurs fois cette saison. À Colomiers, à Carcassonne ou à Lyon, par exemple, ce n’est que lorsqu’il a eu le dos au mur que le Stade Montois, trop inconstant, a véritablement donné tout ce qu’il avait dans le ventre.
3 Bien la semaine mais pas le week-end
Un constat qui amène au même problème depuis le début du mois de septembre : l’incapacité des Montois à pleinement transposer le bon travail réalisé à la plaine des jeux sur les terrains de Pro D2. « Peut-être qu’on ne fait pas assez de ‘‘100 %’’ la semaine (c’est-à-dire des séances confectionnées avec des oppositions réalisées en conditions de match), réfléchit l’ancien international écossais. Cela engendre des risques de blessures, c’est certain, mais si on n’arrive pas à mettre d’intensité le week-end, cela ne sert à rien de s’entraîner. »
4 Un bilan « très mauvais »
Pas adepte de la langue de bois, Julien Cabannes l’a reconnu sans détour : le bilan des deux premiers blocs est « très mauvais ». « Il y a quelques années, on ne faisait pourtant pas de meilleurs matchs. Mais on arrivait à les gagner. C’est la différence entre les bonnes équipes et les moyennes. Mais on va tout faire pour passer dans la catégorie au dessus », finissait-il par promettre.
Tout en rappelant que le groupe n’avait « jamais parlé d’objectifs en termes de résultats » ni demandé à être étiqueté en tant que favori, Julien Tastet reconnaissait néanmoins que les performances du Stade sont encore « très loin » de celles d’une formation de haut de tableau. « Il faut se remobiliser, lançait donc le capitaine. Il reste 20 matchs. Le championnat est encore long. Il va falloir aller chercher des points à l’extérieur. »
Le Stade Montois s’améliore, c’est certain, mais ses progrès sont trop lents, insuffissants pour masquer ses fragilités. D’où la nécessité d’appuyer un grand coup sur l’accélérateur. Et ce dès Aurillac, dans quinze jours, en guise d’entame d’un bloc costaud qui se terminera par un derby landais qui risque bien de valoir son pesant d’or.
Article : sudouest.fr
Un sentiment de frustration renforcé par une rengaine lancinante. Celle d’une formation qui perd, comme à Bourg-en-Bresse, deux points dans les tout derniers instants de la rencontre alors que la victoire était à portée de main. Celle d’un groupe qui n’est plus maître dans sa propre demeure, également.
Crise de nerfs dans les tribunes, crise de confiance sur le terrain. L’indiscipline, récurrente depuis le début de saison, n’est en effet pas la seule responsable des difficultés montoises. Le Stade est dans le doute. Preuve que les plaies de la saison dernière ne sont sans doute pas encore guéries. Contre Béziers pourtant, l’envie était là, comme en témoigne la partie réalisée par les avants landais - pourtant souvent critiqués cette saison - dans le sillage d’un Haisini Taulanga indispensable.
Derrière en revanche, difficile de retenir autre chose de cette rencontre que la latéralité du jeu et l’incapacité montoise à avancer face à une défense biterroise jamais véritablement inquiétée. Le tout pour un « constat d’impuissance », comme le reconnaît Julien Cabannes, visiblement touché par cette contre-performance, à l’image de tout un club. « On n’a pas su transformer le jeu. On a un problème de liant entre les avants et les trois-quarts. On ne sait vraiment pas l’expliquer. On est rentré sur le terrain très motivé pourtant. On voulait vraiment finir ce bloc sur une bonne note. Malheureusement, on n’a pas pu offrir cela à nos supporteurs. » Une intense déception qui ne va pas contribuer à soigner les têtes. Seule une série de succès le peut.
2 Un problème d’intensité
Si Scott Murray stigmatisait, lui aussi, le manque de confiance et de chance des siens, il pointait également l’intensité insuffisante proposée par ses protégés. « Dans les dernières minutes (de la 70e à la 75e, NDLR), on a réussi à faire 11 ou 12 phases de jeu (qui ont amené la dernière pénalité de Dut, portant la marque à 11-8). C’est comme ça qu’on doit jouer tout le match. On a bien commencé, mais après dix minutes, on a l’impression qu’on s’est dit que c’était terminé… C’est 80 minutes qu’il faut disputer ainsi. » Le schéma avait d’ailleurs déjà été entrevu plusieurs fois cette saison. À Colomiers, à Carcassonne ou à Lyon, par exemple, ce n’est que lorsqu’il a eu le dos au mur que le Stade Montois, trop inconstant, a véritablement donné tout ce qu’il avait dans le ventre.
3 Bien la semaine mais pas le week-end
Un constat qui amène au même problème depuis le début du mois de septembre : l’incapacité des Montois à pleinement transposer le bon travail réalisé à la plaine des jeux sur les terrains de Pro D2. « Peut-être qu’on ne fait pas assez de ‘‘100 %’’ la semaine (c’est-à-dire des séances confectionnées avec des oppositions réalisées en conditions de match), réfléchit l’ancien international écossais. Cela engendre des risques de blessures, c’est certain, mais si on n’arrive pas à mettre d’intensité le week-end, cela ne sert à rien de s’entraîner. »
4 Un bilan « très mauvais »
Pas adepte de la langue de bois, Julien Cabannes l’a reconnu sans détour : le bilan des deux premiers blocs est « très mauvais ». « Il y a quelques années, on ne faisait pourtant pas de meilleurs matchs. Mais on arrivait à les gagner. C’est la différence entre les bonnes équipes et les moyennes. Mais on va tout faire pour passer dans la catégorie au dessus », finissait-il par promettre.
Tout en rappelant que le groupe n’avait « jamais parlé d’objectifs en termes de résultats » ni demandé à être étiqueté en tant que favori, Julien Tastet reconnaissait néanmoins que les performances du Stade sont encore « très loin » de celles d’une formation de haut de tableau. « Il faut se remobiliser, lançait donc le capitaine. Il reste 20 matchs. Le championnat est encore long. Il va falloir aller chercher des points à l’extérieur. »
Le Stade Montois s’améliore, c’est certain, mais ses progrès sont trop lents, insuffissants pour masquer ses fragilités. D’où la nécessité d’appuyer un grand coup sur l’accélérateur. Et ce dès Aurillac, dans quinze jours, en guise d’entame d’un bloc costaud qui se terminera par un derby landais qui risque bien de valoir son pesant d’or.
Article : sudouest.fr
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