Les Bordelais se sont encore sabordés tout seuls et disent sûrement Adieu à l'Europe.....
Bordeaux rate encore une occasion de remonter au classement en concédant le nul à domicile face à une modeste équipe d'Ajaccio....
Pourtant après avoir ouvert le score, sur un pénalty inscrit par Diabaté, les Girondins ont eu l'occasion de se mettre à l'abri mais ils ont vendangé les actions franches.
Et ce qu'il devait arriver, arriva, sur une action presque anodine, à la dernière minute du temps règlementaire, Larbi parvient à reprendre un centre à ras de terre et frappe, le ballon est contré par les jambes de Guilbert, qui trompe Bernardoni, pris à contre pied.
Bordeaux peut s'en vouloir, au lieu de remonter un peu au classement, il se retrouve toujours dans le ventre mou du championnat et font le statu-quo, semblant impuissant face à la situation de crise qui est prégnante......
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Mohamed Larbi est
décidément un diable de joueur. Il aura cette saison créé mille
tourments aux Girondins et pénalisé leurs ambitions. Déjà auteur des
deux buts de son équipe au match aller, l'attaquant corse a surgi sur ce
centre de Coeff, à une minute de la fin, pour arracher le nul, sur le
seul tir cadré du Gazélec... Les égalisations en fin de match
ressemblent à ces buts en or sur lesquels vous perdez tout. Et, quand
vous n'avez jamais été en danger de la soirée, elles vous inspirent un
sentiment d'injustice.
Mais, comme ce fut le cas hier soir, elles traduisent surtout votre incapacité à prendre le large, dans une partie que vous avez maîtrisée. Les Bordelais le savaient, pour avoir galvaudé, après avoir le score sur un penalty de Diabaté, une poignée d'occasions incroyables en bonne position, que ce fût Rolan (49e), Vada (73e) et surtout Arambarri, dont le tir du gauche, frôla le poteau…
Pour l'ancien joueur du Bayern, avec ce nul, le deuxième en trois matches non gagnés, Bordeaux a tiré un trait définitif sur ce qu'il lui restait d'ambitions européennes. Il a sans doute raison. Quand vous abandonnez cinq points contre le 18e, après en avoir perdu six contre le 17e (Reims), vous ne pouvez pas espérer vous immiscer parmi les meilleures équipes du championnat.
Le club du Haillan traîne à la 12e place ce matin, à cinq longueurs de la 4e place et compte tenu de ce qu'il montre depuis quelque temps, on doute qu'il puisse retrouver assez de constance pour remonter. Le seul avantage de ce petit point est qu'il permet de rien concéder à Ajaccio, le premier relégable…
On comprend bien sûr la frustration de Sagnol, qui avait mis en place une équipe ambitieuse, technique et offensive, organisée en losange, avec Jussiê en meneur de jeu derrière le duo Rolan-Diabaté et Traoré en sentinelle. Elle souffrit pendant vingt minutes face à la densité physique d'Ajaccio, venant chercher les ballons très haut.
« On avait le projet de livrer un match solide, avec l'ambition de concéder peu d'occasions à l'adversaire, d'avoir une équipe beaucoup plus en bloc, beaucoup plus hermétique. Ce fut le cas mais pas assez longtemps… »
Il tenta d'y remédier en sortant, à la 83e, un Valentin Vada, qui n'en pouvait plus, au profit de Malcom. « On n'arrivait plus à gérer les côtés. Valentin était dans le rouge depuis un moment. Il fallait donc rééquilibrer ces côtés. On a voulu fermer un peu plus le jeu. »
Ce fut malheureusement pour son équipe sur le côté gauche de la défense bordelaise que vint l'égalisation, sur un centre de Coeff que personne ne put contrer… Parce que les jeunes Bordelais voulaient trop aller chercher la victoire ? « Nos erreurs, cette saison, nous les payons cash », regrettait le coach des Girondins. « Et quand vous menez 1-0, il faut parfois savoir s'en contenter. »
Source : sudouest.fr
Mais, comme ce fut le cas hier soir, elles traduisent surtout votre incapacité à prendre le large, dans une partie que vous avez maîtrisée. Les Bordelais le savaient, pour avoir galvaudé, après avoir le score sur un penalty de Diabaté, une poignée d'occasions incroyables en bonne position, que ce fût Rolan (49e), Vada (73e) et surtout Arambarri, dont le tir du gauche, frôla le poteau…
Jussiê en meneur
« C'est une énorme frustration » glissa un Willy Sagnol très déçu après la partie. « Quand vous jouez Ajaccio à la maison, vous vous dedez de prendre les trois points, surtout dans notre situation. Mais quand vous ne faites pas le break, il vous arrive ce qu'il nous est arrivé aujourd'hui…Pour l'ancien joueur du Bayern, avec ce nul, le deuxième en trois matches non gagnés, Bordeaux a tiré un trait définitif sur ce qu'il lui restait d'ambitions européennes. Il a sans doute raison. Quand vous abandonnez cinq points contre le 18e, après en avoir perdu six contre le 17e (Reims), vous ne pouvez pas espérer vous immiscer parmi les meilleures équipes du championnat.
Le club du Haillan traîne à la 12e place ce matin, à cinq longueurs de la 4e place et compte tenu de ce qu'il montre depuis quelque temps, on doute qu'il puisse retrouver assez de constance pour remonter. Le seul avantage de ce petit point est qu'il permet de rien concéder à Ajaccio, le premier relégable…
On comprend bien sûr la frustration de Sagnol, qui avait mis en place une équipe ambitieuse, technique et offensive, organisée en losange, avec Jussiê en meneur de jeu derrière le duo Rolan-Diabaté et Traoré en sentinelle. Elle souffrit pendant vingt minutes face à la densité physique d'Ajaccio, venant chercher les ballons très haut.
« On avait le projet de livrer un match solide, avec l'ambition de concéder peu d'occasions à l'adversaire, d'avoir une équipe beaucoup plus en bloc, beaucoup plus hermétique. Ce fut le cas mais pas assez longtemps… »
Se contenter du 1-0
Fatalement, il regretta que ses hommes n'aient eu la maturité nécessaire pour gérer une deuxième période, où, accusant un peu de fatigue et d'empressement, ils gâchèrent beaucoup de situations de contre. « On est un peu retombé dans nos travers de Reims où l'on perdait trop vite le ballon », observa-t-il.Il tenta d'y remédier en sortant, à la 83e, un Valentin Vada, qui n'en pouvait plus, au profit de Malcom. « On n'arrivait plus à gérer les côtés. Valentin était dans le rouge depuis un moment. Il fallait donc rééquilibrer ces côtés. On a voulu fermer un peu plus le jeu. »
Ce fut malheureusement pour son équipe sur le côté gauche de la défense bordelaise que vint l'égalisation, sur un centre de Coeff que personne ne put contrer… Parce que les jeunes Bordelais voulaient trop aller chercher la victoire ? « Nos erreurs, cette saison, nous les payons cash », regrettait le coach des Girondins. « Et quand vous menez 1-0, il faut parfois savoir s'en contenter. »
Source : sudouest.fr
Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Ajaccio.
Source : dailymotion.com
Conférence de presse après le match entre Bordeaux et Ajaccio.
Source : dailymotion.com
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