Encore un manque de réalisme qui coûte cher.....
Sans Jussiê, le porte bonheur, Bordeaux s'est trouvé leur porte-guigne, Hoarau.....
Trêve de plaisanterie, mais force est de constater que les Girondins, sans un ou deux éléments, ne sont plus les mêmes.
Maladroit en attaque et très fébrile en défense, ce Bordeaux, cuvée 2014, est redevenu le Bordeaux de cet automne.
Bordeaux essuie une seconde défaite consécutive en championnat, la troisième ( coup de la ligue ), toutes compétitions confondues.
La recrue d'un nouvel attaquant a pour l'instant aucun effet tant que ce dernier continuera à être en rodage.
Mais l'enchainement contrôle, frappe, face à Bastia, a de quoi nous rendre confiants pour l'avenir.
Trop irréguliers dans les résultats et face à des concurrents beaucoup mieux armés, les Girondins devront certainement se contenter des miettes et sont presque déjà condamnés à errer dans le ventre mou du championnat.
Un parcours en Coupe de France, comme l'an dernier, ne serait pas pour nous déplaire mais comme on dit, l'histoire ne se répète pas......
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Bordeaux a commencé l’année comme il avait débuté sa saison : en toussotant. Après Toulouse (0-1) le week-end dernier, puis le PSG (1-3) mardi soir en Coupe de la Ligue, les Girondins ont concédé leur troisième défaite consécutive samedi soir sur la pelouse de Bastia (0-1). A l’exception de leur victoire en Coupe de France contre Raon-L’Etape (2-1),
une formation de CFA… qu’ils avaient terrassée à la 87e minute (!), les
joueurs de Francis Gillot n’ont donné aucun signe rassurant en 2014. Le
tunnel dans lequel ils se sont engouffrés rappelle celui qu’ils avaient
traversé entre août et octobre lorsqu’ils n’avaient remporté qu’un seul
succès toutes compétitions confondues : face à … Bastia (1-0, 3e
journée).
Bordeaux n’en est pas encore tout à fait là. Mais sa
prestation à Armand-Cesari est restée dans la lignée de celle qu’il
avait livrée le week-end dernier face au TFC. Sous-entendu : inefficace
devant et fébrile derrière. Deux lacunes qui se sont accompagnées d’un
déchet technique rédhibitoire à ce niveau-là (56% de passes réussies à
la mi-temps seulement). En décidant dans un premier temps de laisser le
ballon aux Corses pour mieux les contrer, Obraniak et ses équipiers se
sont pourtant longtemps montrés les plus dangereux. Mais faute d’avoir
su trouver le cadre (3e, 9e, 11e, 13e) ou profiter d’une passe en
retrait mal ajustée d’Harek (16e), ils se sont faits piéger sur l’une
des rares tentatives du Sporting en première période : une frappe
croisée de Ba sur un centre de Raspentino (42e).
En deuxième période, le rapport de forces s’est inversé. Bordeaux a mieux tenu le ballon, mais à l’exception d’une reprise de volée de Hoarau (entré à la pause) détournée par Leca, les Girondins n’ont pas eu grand-chose à se mettre sous la dent. A contrario, Bastia a fait le dos rond, profitant de la moindre contre-attaque pour inquiéter Cédric Carrasso. A la 67e, le portier bordelais a été contraint de s’employer devant Raspentino, avant de voir une tentative d’Ilan flirter avec son montant en fin de match (87e). Alors qu’il avait l’occasion de grimper provisoirement à la 5e place, Bordeaux stagne au 8e rang, quatre places et quatre longueurs devant son adversaire du soir. En fonction des résultats de Lyon, Reims et Nantes, dimanche, le bon wagon pourrait de nouveau s’éloigner…
En deuxième période, le rapport de forces s’est inversé. Bordeaux a mieux tenu le ballon, mais à l’exception d’une reprise de volée de Hoarau (entré à la pause) détournée par Leca, les Girondins n’ont pas eu grand-chose à se mettre sous la dent. A contrario, Bastia a fait le dos rond, profitant de la moindre contre-attaque pour inquiéter Cédric Carrasso. A la 67e, le portier bordelais a été contraint de s’employer devant Raspentino, avant de voir une tentative d’Ilan flirter avec son montant en fin de match (87e). Alors qu’il avait l’occasion de grimper provisoirement à la 5e place, Bordeaux stagne au 8e rang, quatre places et quatre longueurs devant son adversaire du soir. En fonction des résultats de Lyon, Reims et Nantes, dimanche, le bon wagon pourrait de nouveau s’éloigner…
Article : l'Equipe.fr
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