Price a permis au Stade Montois d'inscrire l'essai décisif du match.....
Au terme d'une rencontre bien morne, le Stade Montois a assuré l'essentiel en dominant Bourgoin à domicile.
Une première mi-temps dominée par les visiteurs qui ont dominé territorialement, face à des Montois apathiques.
Surpassé sur des fondamentaux que sont la mêlée et la touche, le Stade Montois doit son salut à un bel essai en contre de Lucu, bien initié par Price.
En seconde période, les Montois ont essayé de marquer un second essai, alors en supériorité numérique, mais ont été incapables de conclure.
Au lieu de prendre les points au pied ( 16 à 12 ), il se sont acharnés à pilonner la défense Berjalienne, sans succès.
Le score serré a maintenu le suspens jusqu'en fin de rencontre.
Mais les locaux auraient pu se mettre à l'abri avant....
Le Stade Montois, depuis de nombreuses saisons a toujours eu du mal à concrétiser ses actions.
L'efficacité et surtout les faiblesses en conquête doivent être corrigées, car en jouant de la sorte, il ne faudra pas compter sur une victoire à Bourg-en-Bresse pour le prochain déplacement !!!!!!!
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Les Montois se sont offert un grand bol d’air frais en s’imposant face à
Bourgoin (16-12). Mais il reste du boulot, beaucoup de boulot, du côté
de la préfecture landaise. Et si les spectateurs ont dû goûter à un
match terne, l’essentiel n’était néanmoins pas là pour Mont-de-Marsan.
Après deux défaites consécutives - certes à l’extérieur - et un premier bloc complètement raté, les Montois ont finalement réenclenché la marche avant. Un minimum syndical en forme de sursis pour une équipe engluée dans la seconde partie du tableau depuis le début de saison, loin du standing qui devrait être le sien. « C’est le résultat le plus important aujourd’hui. On avait besoin de se rassurer en l’emportant », confirmait d’ailleurs Yannick Agrech, l’entraîneur en charge de la mêlée montoise. Quatre points qui ont de plus le mérite de permettre aux jaune et noir de s’éloigner quelque peu de la zone rouge, même si les places qualificatives, elles, sont toujours aussi éloignées (10 points).
Face à des Berjalliens qui n’ont rien de promus ordinaires, si des
progrès sont à noter en termes de discipline, le Stade Montois a tout de
même connu les pires difficultés pour se défaire de son adversaire. «
C’était un vrai match de Pro D2. C’est une division compliquée »,
relativisait toutefois Yannick Agrech, tout en admettant également les
difficultés actuelles des siens. « On sent qu’on est une équipe qui
n’est pas encore libérée. Et comme on n’est pas libéré, le public non
plus, ne l’est pas. On est conscient qu’il nous reste beaucoup de
travail. C’est pour cela qu’il faut faire profil bas. On n’est pas là
pour fanfaronner. »
« Tout s’équilibre »
Le Stade cette saison, c’est un peu Docteur Jekyll et Mister Hyde. Capable du meilleur mais aussi et souvent du pire. La différence avec les rencontres précédentes ? C’est que même s’ils ont été dominés toute la première période, les jaune et noir sont néanmoins parvenus à la remporter pour ensuite, comme c’est plus généralement le cas, finir mieux que leurs adversaires. « Dans une saison, tout s’équilibre, répondait Beñat Arrayet. Contre Colomiers (défaite à domicile 33-24), on n’aurait jamais dû perdre en ayant 70% de possession. Aujourd’hui, c’est l’inverse qui s’est produit. »
Très largement battus en mêlée, minés par un jeu inopportun au pied et inefficace à la main, les hommes de Laussucq et Murray ont été cantonnés dans leur camp les 35 premières minutes. Autant de carences dont l’ouvreur berjallien, Thomas Trautmann, s’est tout simplement régalé pour faire fructifier les efforts des siens. Une entame comme Mont-de-Marsan en réalise tant ces derniers temps. Sauf qu’un turn-over superbement négocié par Nicky Price, pour un essai de Lucu (3e), et la précision au pied de Beñat Arrayet ont permis aux jaune et noir de tourner avec l’avantage du score (13-9). Quatre points que les Landais conserveront jusqu’au bout.
Reste le regret de n’avoir su convertir au tableau d’affichage la domination de la seconde période, avec, notamment, une séquence de dix grosses minutes sur les cinq mètres berjalliens sans réussir à passer. « C’est une caractéristique de notre début de saison, le fait de ne pas trop aller derrière la ligne. C’est symptomatique d’une équipe qui doute un petit peu », reconnaissait Beñat Arrayet. « On ne va pas bouder notre plaisir », finissait-il toutefois par lancer. Cet exercice est, il est vrai, tellement difficile pour le Stade Montois, que toute victoire est bonne à prendre.
Article : sudouest.fr
Après deux défaites consécutives - certes à l’extérieur - et un premier bloc complètement raté, les Montois ont finalement réenclenché la marche avant. Un minimum syndical en forme de sursis pour une équipe engluée dans la seconde partie du tableau depuis le début de saison, loin du standing qui devrait être le sien. « C’est le résultat le plus important aujourd’hui. On avait besoin de se rassurer en l’emportant », confirmait d’ailleurs Yannick Agrech, l’entraîneur en charge de la mêlée montoise. Quatre points qui ont de plus le mérite de permettre aux jaune et noir de s’éloigner quelque peu de la zone rouge, même si les places qualificatives, elles, sont toujours aussi éloignées (10 points).
« Tout s’équilibre »
Le Stade cette saison, c’est un peu Docteur Jekyll et Mister Hyde. Capable du meilleur mais aussi et souvent du pire. La différence avec les rencontres précédentes ? C’est que même s’ils ont été dominés toute la première période, les jaune et noir sont néanmoins parvenus à la remporter pour ensuite, comme c’est plus généralement le cas, finir mieux que leurs adversaires. « Dans une saison, tout s’équilibre, répondait Beñat Arrayet. Contre Colomiers (défaite à domicile 33-24), on n’aurait jamais dû perdre en ayant 70% de possession. Aujourd’hui, c’est l’inverse qui s’est produit. »
Très largement battus en mêlée, minés par un jeu inopportun au pied et inefficace à la main, les hommes de Laussucq et Murray ont été cantonnés dans leur camp les 35 premières minutes. Autant de carences dont l’ouvreur berjallien, Thomas Trautmann, s’est tout simplement régalé pour faire fructifier les efforts des siens. Une entame comme Mont-de-Marsan en réalise tant ces derniers temps. Sauf qu’un turn-over superbement négocié par Nicky Price, pour un essai de Lucu (3e), et la précision au pied de Beñat Arrayet ont permis aux jaune et noir de tourner avec l’avantage du score (13-9). Quatre points que les Landais conserveront jusqu’au bout.
Reste le regret de n’avoir su convertir au tableau d’affichage la domination de la seconde période, avec, notamment, une séquence de dix grosses minutes sur les cinq mètres berjalliens sans réussir à passer. « C’est une caractéristique de notre début de saison, le fait de ne pas trop aller derrière la ligne. C’est symptomatique d’une équipe qui doute un petit peu », reconnaissait Beñat Arrayet. « On ne va pas bouder notre plaisir », finissait-il toutefois par lancer. Cet exercice est, il est vrai, tellement difficile pour le Stade Montois, que toute victoire est bonne à prendre.
Article : sudouest.fr
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