Les Girondins se sont faits piéger par Paris, qui a réagi à temps.....
Les Bordelais auraient pu l'emporter face au P.S.G.
Mais les Girondins ont échoué pour marquer un second but par Poko et se sont ensuite faits rejoindre par le jeune Ongenda.
Dans les arrêts de jeu, Bordeaux perd le match sur un coup franc bien repris de la tête par Alex.
Un titre s'est échappé mais Bordeaux a montré un beau visage malgré plusieurs absences.
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Cruel dénouement. Ils en sont restés assis sur la pelouse du stade de l’Amitié de Libreville. Comme sonnés par ce dernier coup de boule du défenseur parisien Alex, sur un coup franc (pour une faute peu évidente) de son compatriote Lucas. On avait déjà dépassé les quatre minutes de temps additionnel depuis une poignée de secondes ; Ben Khalfallah, Jussiê et Sacko, entrés dans la perspective des tirs au but, n’ont même pas eu le temps de toucher le ballon. Et puis le coup de massue qui va leur rappeler de mauvais souvenirs.
Les Girondins ont cédé à leur péché mignon - les buts en toute fin de
rencontre - hier soir au Gabon, alors qu’on se dirigeait encore vers la
première petite sensation de la saison à la 82e minute. Mais un coup de patte génial d’Ibrahimovic pour le jeune Ongenda
et un dernier instant d’inattention sur coup de pied arrêté - le seul
secteur où ils ont véritablement souffert hier soir - ont complètement
changé l’histoire de ce premier match officiel de la saison.
Car oui, à la surprise générale, ils menaient à la pause sur un coup de tête d’Henri Saivet (38e) sur un centre de Nicolas Maurice-Belay - ce dernier signant au passage sa deuxième passe décisive consécutive en match officiel, après celle qui offrit le but de la victoire à Cheick Diabaté en finale de la Coupe de France -, au moment où les Girondins commençaient à desserrer la pression parisienne, il est vrai faiblarde.
Ce n’était pas dans l’air du temps depuis l’arrivée des deux équipes en terre africaine, jeudi soir. Comme prévu, le PSG contrôlait le ballon, mais sans réellement déséquilibrer une défense bordelaise pourtant remaniée. Car contrairement à ce qu’il avait laissé entendre la veille, et laissé voir à l’entraînement, Francis Gillot avait finalement préféré Grégory Sertic au poste de libero (comme à Châteauroux en 32e de finale de Coupe de France la saison dernière), reléguant Vujadin Savic sur le banc (et loin dans la hiérarchie au poste, en l’absence de Planus, Henrique et Bréchet suspendus).
Bien regroupée, solidaire, défendant haut avec Lamine Sané chargé de suivre les décrochages d’Ibrahimovic, cette équipe bordelaise rajeunie ne baissait pas les yeux face à l’artillerie parisienne, seulement mise en danger, déjà, sur coups de pied arrêtés et les accélérations de Lavezzi.
Il a fallu au PSG l’entrée de sa jeune garde (égalisation d’Ongenda) et le réveil de Zlatan, dont un but de la tête injustement refusé pour hors-jeu avait signé une première alerte, pour se sortir de cette mauvaise passe. Pour Bordeaux, compte tenu des circonstances (neuf absents) et de la volonté étalée sur le terrain, c’était forcément cruel…
Article : sudouest.fr / Photo : libération.fr
- Saivet le premier
Car oui, à la surprise générale, ils menaient à la pause sur un coup de tête d’Henri Saivet (38e) sur un centre de Nicolas Maurice-Belay - ce dernier signant au passage sa deuxième passe décisive consécutive en match officiel, après celle qui offrit le but de la victoire à Cheick Diabaté en finale de la Coupe de France -, au moment où les Girondins commençaient à desserrer la pression parisienne, il est vrai faiblarde.
Ce n’était pas dans l’air du temps depuis l’arrivée des deux équipes en terre africaine, jeudi soir. Comme prévu, le PSG contrôlait le ballon, mais sans réellement déséquilibrer une défense bordelaise pourtant remaniée. Car contrairement à ce qu’il avait laissé entendre la veille, et laissé voir à l’entraînement, Francis Gillot avait finalement préféré Grégory Sertic au poste de libero (comme à Châteauroux en 32e de finale de Coupe de France la saison dernière), reléguant Vujadin Savic sur le banc (et loin dans la hiérarchie au poste, en l’absence de Planus, Henrique et Bréchet suspendus).
Bien regroupée, solidaire, défendant haut avec Lamine Sané chargé de suivre les décrochages d’Ibrahimovic, cette équipe bordelaise rajeunie ne baissait pas les yeux face à l’artillerie parisienne, seulement mise en danger, déjà, sur coups de pied arrêtés et les accélérations de Lavezzi.
- Zlatan se réveille
Il a fallu au PSG l’entrée de sa jeune garde (égalisation d’Ongenda) et le réveil de Zlatan, dont un but de la tête injustement refusé pour hors-jeu avait signé une première alerte, pour se sortir de cette mauvaise passe. Pour Bordeaux, compte tenu des circonstances (neuf absents) et de la volonté étalée sur le terrain, c’était forcément cruel…
Article : sudouest.fr / Photo : libération.fr
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