Bordeaux peut enfin sourire après cette première victoire.......
Encore empruntés, Bordeaux a quand même réussi à décrocher sa première victoire après trois matches.
C'est Henri Saivet (32') qui, sur un coup franc, a offert les trois points aux Girondins.
Pas de quoi pavoiser, car les Girondins, en seconde mi-temps, ont reculé et ont subi les assauts des Bastiais sans pour autant céder.
En fin de match, une faute de poussin, a même privé les locaux d'un second but mais la passe entre Sacko et Poundjé ( un seul joueur devant le but ) a été signalée hors-jeu.
Une victoire qui n'enlève en rien la prestation Bordelaise que l'on jugera poussive et qui ne soulage toujours pas les supporters pour l'avenir.......
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Un coup-franc direct d'Henri Saivet a permis à Bordeaux de s'offrir une petite première victoire cette saison au détriment de Bastia (1-0), samedi soir à domicile, à l'occasion de la 3e journée de Ligue 1.
Peu importe la manière, pourvu qu'on ait les trois points, telle
pourrait être la maxime du jour pour les Girondins, pas des plus
emballants, un brin chahutés, mais au final suffisamment solidaires pour
bonifier le nul ramené à dix de Toulouse (1-1) le week-end dernier et
s'extirper du fond de classement.
Les Corses, eux, pourront s'en vouloir de n'avoir joué que lors du
deuxième acte car ce Bordeaux-là semblait encore une fois prenable.
Un peu plus entreprenants en début de match, les hommes de Francis Gillot s'étonnaient presque de dominer autant les débats, mais s'ils abusaient des centres (17 à 4 à la pause), ils ont eu du mal à se créer des occasions franches.
La plus nette, une tête de Saivet (28e) qui passait à côté mais qui donnait des idées au buteur de Libreville lors du trophée des Champions (perdu 2-1 contre le PSG, ndlr).
Quatre minutes plus tard, sur un coup-franc direct à distance "platinienne", il enroulait une frappe parfaite qui laissait Landreau sans réaction (1-0, 32e).
Les Corses, transparents offensivement jusque-là, trouvaient quelques repères après la rentrée d'Ilan (34e), qui ajustait mal sa tête sur la seule tentative des siens du premier acte (40e).
Après la pause, les Girondins auraient pu se rendre la partie plus facile si Maurice-Belay, sur un mauvais renvoi de Modesto après une sortie hasardeuse de Landreau, avait su cadrer sa frappe (48e).
Un tournant ? Cela y ressemblait à voir les coéquipiers de Squillaci s'enhardir, à l'image de Yatabaré qui ne trouvait que le petit filet de Carrasso (66e) ou de Palmieri, dont la frappe du droit, son mauvais pied, finissait dans la niche de Carrasso (75e).
La pression insulaire s'accentuait la trotteuse avançant, les Girondins reculaient sans rompre toutefois, se retrouvant même à deux doigts de doubler la mise sur une tête à bout portant de Saivet, sur un coup-franc d'Obraniak, qui s'envolait au dessus de la barre (86e).
Résumé : sudouest.fr
Un peu plus entreprenants en début de match, les hommes de Francis Gillot s'étonnaient presque de dominer autant les débats, mais s'ils abusaient des centres (17 à 4 à la pause), ils ont eu du mal à se créer des occasions franches.
La plus nette, une tête de Saivet (28e) qui passait à côté mais qui donnait des idées au buteur de Libreville lors du trophée des Champions (perdu 2-1 contre le PSG, ndlr).
Quatre minutes plus tard, sur un coup-franc direct à distance "platinienne", il enroulait une frappe parfaite qui laissait Landreau sans réaction (1-0, 32e).
Les Corses, transparents offensivement jusque-là, trouvaient quelques repères après la rentrée d'Ilan (34e), qui ajustait mal sa tête sur la seule tentative des siens du premier acte (40e).
Après la pause, les Girondins auraient pu se rendre la partie plus facile si Maurice-Belay, sur un mauvais renvoi de Modesto après une sortie hasardeuse de Landreau, avait su cadrer sa frappe (48e).
Un tournant ? Cela y ressemblait à voir les coéquipiers de Squillaci s'enhardir, à l'image de Yatabaré qui ne trouvait que le petit filet de Carrasso (66e) ou de Palmieri, dont la frappe du droit, son mauvais pied, finissait dans la niche de Carrasso (75e).
La pression insulaire s'accentuait la trotteuse avançant, les Girondins reculaient sans rompre toutefois, se retrouvant même à deux doigts de doubler la mise sur une tête à bout portant de Saivet, sur un coup-franc d'Obraniak, qui s'envolait au dessus de la barre (86e).
Résumé : sudouest.fr
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